Bonjour Mary,
je ne saurais alléger ta peine, je n'ai jamais trop su faire parler les mots pour parler de mon chagrin ou consoler. Sauf peut être avec mon mari Marc qui a été comme le tien longtemps suicidaire. Cela n'a tenu qu'à trois fois rien , j'aurais pu être veuve bien plus tôt, et au moment où il allait mieux un cancer l'a rattrapé . Le destin semble bien cruel et injuste.
Mais je ne pouvais pas partir sans te laisser un peu de douceur et de chaleur humaine.
Laisse les paroles stupides, souvent bien intentionnées, tomber dans le puits de l'oubli. Tu as besoin de toutes tes forces ailleurs, pour toi , peut être pour les enfants de ton amoureux.
Tendrement
loma