Auteur Sujet: Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !  (Lu 960320 fois)

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #1410 le: 21 avril 2017 à 22:29:19 »
Robert Charlebois... Québec Love... Ordinaire... https://www.youtube.com/watch?v=IDGNA83mxDo

Merci Stana...  :'( et  :-*

Oui Stana je connaissais bien sûr cette magnifique chanson de Charlebois mais je ne connaissais pas cette version et ...
j'ai carrément pleuré  :'( d'émotions.

Merci encore ma Stana  :-* :-* :-*

Amitiés.
je t'embrasse.
Federico
- Espérer, c'est avoir la force de sourire avec un cœur qui ne cesse de pleurer
- Qui pourrait me dire maintenant ce que je dois dire, écrire, croire, penser ou faire ? Personne ! je suis LIBRE !

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #1411 le: 22 avril 2017 à 09:28:08 »

Allez TOUS ENSEMBLE et EN MUSIQUE :

JEAN-LUC !......... JEAN-LUC !......... JEAN-LUC !........ JEAN-LUC !
                 JEN-LUC !.................JEAN-LUC !...........................JEAN-LUC !

Ce message est strictement personnel !!! et confidentiel ? et ne représentera qu' UNE voix dans l'urne dimanche 23 au moment du vote au premier tour de l'élection présidentielle !

JEAN-LUC.

BISOUS à TOUS et à TOUTES... un peu de légèreté dans ce monde de brutes !

PS : Ceci n'est évidemment qu'une invitation à faire bon usage de son droit de vote ...
VOTEZ DONC MESSIEURS-DAMES !
Bon wiwi... entre espoir et désespoir dès dimanche soir !
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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #1412 le: 22 avril 2017 à 10:07:21 »


Notre avant-dernier mot


Notre avant-dernier mot
serait un mot de misère,
mais devant la conscience-mère
le tout dernier sera beau.

Car il faudra qu'on résume
tous les efforts d'un désir
qu'aucun goût d'amertume
ne saurait contenir.



Rainer Maria Rilke
Vergers
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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #1413 le: 22 avril 2017 à 10:27:02 »

Stéphen Moysan


L’instant en sa présence
A des allures d’éternité

Passionnément intense
On se doit de l’honorer
Elle est la quintessence
Sacrée des sens éclairés
Intime du grand silence
Ele sait le faire parler


L'Efflorescence d'un adieu
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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #1414 le: 22 avril 2017 à 10:41:16 »


Arvo Pärt ... Spiegel im Spiegel... https://www.youtube.com/watch?v=U4RmJaP683A

Douce et belle journée à tous et toutes...

Bien Solidairement.
Federico
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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #1415 le: 22 avril 2017 à 11:48:26 »
Merci Federico pour ces belles chansons et ces magnifiques poêmes. J' en retrouve certains,   et en découvre  beaucoup.
Encore Merci et bon week end à vous
Gero

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #1416 le: 22 avril 2017 à 14:57:52 »

    Merchi pour les poégies
    (j'ai la bouche pleine de brioches, huhuhu !
    Et bonne chanche à Jean-Luc ...
    M.

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #1417 le: 23 avril 2017 à 00:41:08 »


CIMER CISOU !

Ne trouves tu pas souci que la solitude du samedi soir est plus pesante que celle des autres soir ?

Lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi..... si on est seul... on se couche tôt... et on ferme sa gueule !
samedi........................................................................... si on est seul... on ne peut dormir... et on fait la gueule !
dimanche..................................................................... si on est seul... on regarde le film du dimanche soir... et puis on ferme sa gueule !

Bon voilà,.... nous sommes ... dimanche 23 avril 2017 !
Ce soir.... plutôt que le film du dimanche soir.... j'écouterai les résultats des élections du premier tour de la présidentielle...
et je risque fort de NE PAS DORMIR ... ET DE FAIRE LA GUEULE... comme un samedi soir de Grande Solitude !

La vie n'est pas simple... et "depuis"... c'est même plus compliqué... en tout cas et quelque soit le résultat... CIMER CISOU d'être ... en Belgique et de m'apporter tout ton soutien en cas de défaite de Jean Luc... parce que c'est sûr s'il perd ... je vais tirer une de ces gueules pas possible et ça va me faire très très mal !

Bien Amicalement.
Federico
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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #1418 le: 23 avril 2017 à 10:59:09 »

  De toutes parts, les protectionnistes réfutent les idéaux qui montrent la lune, eux ne voient que le bout du doigt ...
  Pour rêver la lune, il faut beaucoup de sagesse et de finesse ... il ne s'agit pas d'une anarchie chaotique, égoïste, il faut suivre des lois plus profondes que les simples arbitrages modernes ... concilier les pragmatiques et les poètes est-il possible ? Je l'espère pour l'avenir de notre espèce humaine ...
  Raphaël détestait le chacun pour soi ...
  Je vous offre, à Lui et à Toi, ce poumon d'intelligence de vie en société :
  ^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^

   Eric Julien a rencontré les Kogis de Colombie il y a vingt cinq ans, lorsqu’en pleine ascension de la Sierra Nevada de Santa Marta, à 5 000 mètres d’altitude, victime d’une embolie pulmonaire, il a été recueilli par la tribu des Kogis, qui lui ont sauvé la vie, le soignant avec leur médecine traditionnelle. Depuis, il n’a de cesse de les aider à récupérer leurs terres ancestrales, via sa fondation Tchendukua, menant de pair des initiatives de sensibilisation à la philosophie Kogi, au coeur d’institutions aussi improbables qu’Hec, ou à l’Apem, où il dirige des séminaires pour les dirigeants d’entreprise. Dans Ushuaïa nature, tourné en territoire Kogi, c'est en sa compagnie que Nicolas Hulot découvre l’univers mystérieux de ce peuple secret, oublié du temps. Eric Julien revient sur cette expérience.

S’agit-il du premier reportage réalisé chez les Kogis ? Comment s’est passé ce tournage ?
C’est le premier avec de tels moyens, comme le montrent les scènes tournées d’avion, mais j’en avais déjà réalisé deux auparavant. Le tournage, qui a duré quinze jours, s’est déroulé de façon discrète, et de qualité, les Kogis lui ayant accordé beaucoup d’importance : je leur avais expliqué que Nicolas Hulot se présentait à la présidentielle. Ils l’ont donc accueilli avec intérêt, et cette volonté de participation est perceptible dans le film. Ils ont apprécié l’acceptation de leur identité, par des images qui les mettent en valeur, ne les dépréciant à aucun moment. Et le résultat est intéressant !

Comment s’est produit votre première rencontre avec les Kogis ?
Ils m’ont découvert à 5 000 mètres d’altitude, victime d’une embolie pulmonaire, et m’ont ramené dans un village, en attendant qu’une voiture puisse m’emmener. Je suis resté neuf jours avec eux, pendant lesquels ils m’ont soigné, m’appliquant des cataplasmes, me faisant prendre des bains glacés… Ce qu’il fallait faire dans le cas d’une embolie pulmonaire : et m’ont sauvé la vie. J’ai été impressionné par leur humour, leur sérénité.

C’est ainsi, que suite à cette rencontre, vous avez décidé de vous consacrer au rachat de leurs terres ancestrales  ?
En effet ; nous rachetons des bandes de terre fertiles, que nous leur restituons, afin qu’ils puissent cultiver, et « réveiller », – se réapproprier –, des sites précolombiens dont ils ont la mémoire. Ils perpétuent ainsi leur culture du coton, et préservent leur identité culturelle. Nous récupérons des terres à partir des limites de leur réserve jusqu’à la mer.

Quels sont les dangers pour leur survie ?
Les para militaires, les narcos… Mais aussi le tourisme, avec un hôtel de luxe en construction, dans le parc Tayrona, à proximité de leur territoire ; et l’exploitation minière, les forages. Enfin, les Pentecôtistes, qui font des ravages, enlevant les enfants pour les placer dans des écoles religieuses ; ils sont plus virulents que jamais en ce moment . Si cela continue ainsi, – la déforestation, le forage, le tourisme, l’évangélisation, le pillage de tombes, la guérilla –… Ils auront du mal à tenir ! Et n’ont plus beaucoup de temps devant eux.

Ce numéro d'Ushaïa nature montre trois sociétés amérindiennes distinctes, les Kogis et Arhuacos de Colombie, et les Kayapos du Brésil avec leur chef Raoni : partagent-elles des luttes communes ?
Oui : ces sociétés vivent en lien avec leurs territoires, ont un discours similaire, partageant une même paix, une douceur de vivre, des valeurs…Visibles dans les trois sujets.

© Eric Julien

Vous dirigez des ateliers de management, basés sur votre expérience de vie chez les Kogis : que faites vous exactement ?
Je travaille comme consultant dans des clubs de dirigeants d’entrepris et j’enseigne à HEC : il s’agit de « détours culturels », où je propose aux managers de changer de regard et de pratiques, afin d’agir différemment, pour répondre aux problématiques actuelles de la crise, ou plutôt d’une nouvelle normalité, à laquelle ils vont devoir se confronter. Car certaines entreprises n’ont rien dans leur carnet de commande pour 2013, et ce n’est encore jamais arrivé ! Or les Kogis sont des managers : ils font des projets, ont des conflits, mais y répondent différemment. Et c’est dans ces réponses issues du vivant, qu’on peut piocher : la valeur du don, la coopération… Des pratiques à réinvestir d’urgence, auxquelles les entreprises réagissent positivement, car ce message les touche, comprenant que les difficultés viennent souvent de la rupture d’avec le vivant, du manque d’audace, de solutions concrètes. Une entreprises meurt, s’il n’y a plus d’espace de confiance, de partage, d’évolution : la dé-reliance crée de la souffrance, et peut même conduire jusqu’au suicide.

Les Kogis nous aident à trouver des solutions. L’obligation de réfléchir devient de plus en vitale, compte tenu de la situation économique qui se dégrade, des dégâts environnementaux et face au déficit de sens de nos dirigeants, qui devraient nous expliquer comment aborder ces questions. Or, nous élisons des gens qui ne nous parlent pas des vrais problèmes.

Les solutions viendront donc de la société civile, ou d’initiatives individuelles : il faut changer notre grille de lecture.

De quelle façon les Kogis gèrent-ils les conflits ?
Ils passent beaucoup de temps à repenser les situations à résoudre, assis sur une colline, sans bouger de la journée, en méditation : le sujet est creusé jusqu’à qu’ils en trouvent la racine, réunis à trente personnes, ou plus… Pratiquant la verbalisation collective de façon assidue, exprimant ce qui les préoccupe, la spiritualité étant au cœur de leur société, avec la présence de leurs Mamos, ou Sagas, pour les femmes, – leurs maîtres spirituels –, astreints à suivre une formation sur dix-huit ans.

Vous avez organisé une tournée de rencontres avec les Kogis en France : pourquoi avoir décidé de les amener, et comment ont- ils vécu ce voyage  ?
Ces sociétés font partie des “invisibles” : on ne les voit que lorsqu‘on construit un barrage au Brésil, et qu’alors on entend le chef Raoni… Il importe donc de les intégrer dans nos débats, car leur message est salvateur pour nos sociétés modernes, ils nous aident à retrouver ce sens du Vivant. Et puis ils étaient curieux de savoir où j’habitais. Et au final, ils étaient contents de la résonance de leurs paroles : ils ont eu la sensation d’avoir planté une graine…

Qu’avez vous découvert, pendant ce tournage ?
A chaque fois, je découvre à quel point je ne connais pas leur culture ! Les premiers ethnologues, lorsqu’ils sont arrivés chez eux, les ont observé de jour : or l’essentiel de leurs activités se déroulent la nuit !

A lire : Les indiens Kogis, la mémoire des possibles, sous la direction d'Eric Julien et Muriel Fifils (Ed. Acte Sud).

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #1419 le: 23 avril 2017 à 13:56:19 »

Nora & Faïk... vous m'avez déjà particulièrement ému ce matin et ...cela pour au moins toute la journée !

Deuil - Elections - Franchir le mur - Ouvrir la porte - légitimité du couple - avoir ou ne pas avoir d'enfants -.......

Je vis depuis 50 ans en France et je suis toujours considéré comme un ETRANGER... puisque toujours de nationalité espagnole... et donc aujourd'hui je n'ai pas droit à voter pour Jean-Luc. Il a mon soutien. Pourtant je donne de la voix... mais il ne pourra pas avoir ma vraie voix dans l'urne ! c'est purement idéaliste, pure idéologie... c'est gra-tuit  chez moi ! mes convictions... mes IDEES sont LIBRES... pas de négociation !
Par contre, j'ai de très nombreuses obligations financières, impôt, taxes... etc... etc...
Obligations à l'Etranger ... Droits & obligations aux français... je comprends... je l'accepte !

J'ai partagé + de 25 ans de ma vie avec la maman de mes deux fils... en toute LIBERTE !... avec toujours des obligations mais sans droits ni réelle reconnaissance... pas de légitimité officielle de notre couple !
Toujours avoir cette possibilité d' Ouvrir la porte et de partir... ça c'est mon ex-compagne qui l'a fait .... pendant que moi peut - être je vais Franchir le mur...

C'est vrai que ça sauve la procrastination... on remets à plus tard... des choses importantes... graves...

Je pense beaucoup à Raphaël... il aurait voté Mélenchon... c'est sûr ! je t'aime ...

Belle journée ensoleillée à tous et à toutes...

Nora et Faïk... je vous embrasse très amicalement ... tellement sincère ... affectueusement !

Bien Solidairement.
Federico

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #1420 le: 23 avril 2017 à 14:31:47 »

   Hé, ho, pas de blague !
   Le mur, le mur ... contentons-nous tous de franchir le mur du doute par-tous-les-côtés !
   Mon gros grain de folie me retient dans le tamis ... quand il fond, plouf!
   Je bois la tasse comme tout le monde ... et puis ma colère fait le reste pour me donner envie de me débattre ... on peut pas laisser gagner le désespoir, même quand tout paraît foutu, quand tout EST foutu déjà pour nous ...
   Nora, Faïkette, Fedy, tous les autres, allez, peu importe, on y va ... à demain, à toujours, et maintenant, c'est le vide du possible ...
   Solidairement, Titine et Caramel.

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #1421 le: 23 avril 2017 à 16:13:53 »
Un petit coucou Federico,  JL

Je passe par là envie de me pauser dans ton monastère et ne penser à rien.
Je suis toujours au fond de la classe , j' arrive pas à passer un rang mais cela me va très bien car je suis bien dans ce monde.

Bise Cdi

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #1422 le: 25 avril 2017 à 23:09:23 »


Les Grandes Âmes sont minoritaires, oui, mais ELLES se sont toujours reconnues et elles brillent discrètement...

Tire la gueule, mon triste Federico, tire la gueule mais jamais ta révérence.

Continue de rendre hommage à ton Raphaël, c'est important !

Douce et tendre amie...
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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #1423 le: 26 avril 2017 à 18:08:12 »

Oh ! Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !... je t'aime.

« Aimons-nous, mon ange béni, il n'y a que cela dans la vie qui vaille la peine de vivre. Mais cela, c'est tout. Qui a cela touche à Dieu même. Aimer, c'est donner à autrui, par une sorte de pouvoir créateur, une existence supérieure ; être aimé, c'est la recevoir. Je t'envoie ce mot qui est aussi un baiser, un mystérieux baiser de l'âme à l'âme : Je t'aime ! »
 Citation de Victor Hugo ; Lettre à Léonie Biard (1847)



Bien solidairement.
Federico
« Modifié: 26 avril 2017 à 18:14:27 par Federico »
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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #1424 le: 27 avril 2017 à 22:46:39 »
  Cette citation est magnifique et infiniment émouvante Frederico, je reconnais bien là Victor Hugo...et toi, avec ton don de dénicher les plus belles citations  :) :-* je m'y retrouve entièrement, j'ai été très émue de la lire.
*Où que tu sois, ne m'oublie pas. Ici, ta voix résonnera encore et toujours. C'est un nouveau monde qui s'ouvre à toi; mais c'est un monde où je ne suis pas...* (Dark Sanctuary)