Auteur Sujet: Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !  (Lu 960258 fois)

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2970 le: 12 décembre 2018 à 18:28:25 »
Mouvement humoristique porté par un magnifique élan de vie avec plein d'étoiles nommées : joie, douceur, tendresse, affection, tolérance, compréhension,  générosité, solidarité, amitié, Amour !

Tout ça me parle+++ et je suis partante pour des échanges pleins de tendresse et d’humour   :)
Par contre, même si j’aurais partagé avec plaisir un bon moment de visu avec vous, je crains que la distance géographique entre nous complique un peu la donne

Salut Kiné,

La distance géographique ne compliquera en rien la donne..... puisqu'à l'unanimité NOUS avons décidé que cette première rencontre se fera (ou ne se fera pas !) à Bruxelles en Belgique !
Tu auras ainsi l'occasion de nous faire découvrir "la meilleure baraque à frites Bruxelloise"...
Nous allons nous régaler avec toutes vos spécialités et histoires belges !
Ici, en France, nous sommes en "Etat d'urgence"... donc ça rigole pas !

Respirons... sourions !

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2971 le: 12 décembre 2018 à 18:40:03 »

Comment les familles tentent de se reconstruire après le suicide d'un proche
DEUIL Dans «La vie après le suicide d'un proche», qui sort ce jeudi, Katia Chapoutier a donné la parole à des personnes endeuillées qui ont réussi à se reconstruire...

Delphine Bancaud
Publié le 12/10/17 — Mis à jour le 14/10/17

Le traumatisme, la culpabilité, les questions sans fin les ont hantés après le drame.
Mais l’accompagnement par un psy, des groupes de paroles ou des amis leur ont permis une forme d’apaisement.
Certains sont parvenus après une longue quête, à retrouver le goût de la vie.
C’était en avril 2006. Gisèle, la sœur de Katia Chapoutier a mis fin à ses jours. « La terre s’est alors ouverte sous mes pieds ». Dans La vie après le suicide d’un proche, qui sort ce jeudi en librairie, la journaliste qui a vécu ce drame a donné la parole aux familles endeuillées. Et ce, pour comprendre comment, comme elle, ils avaient pu d’abord survivre à cette tragédie, mais aussi réapprendre à vivre. Des témoignages d’autant plus utiles que ce sujet peut potentiellement toucher chacun de nous au cours de sa vie. Car selon l’Observatoire national du suicide, « une personne sera confrontée, sur une période de quarante ans, au décès par suicide d’une à trois personnes de son entourage immédiat ».

Les récits de cet ouvrage décrivent la déflagration que cause la perte d’un proche après un suicide. « C’est quelque chose d’inimaginable, cela vous tombe dessus du jour au lendemain », déclare ainsi Elisabeth, qui a perdu sa fille Camille. « Le deuil après un suicide a une composante traumatique, car ce sont souvent les proches qui découvrent la personne qui a mis fin à sa vie », explique le psychiatre et psychothérapeute, Christophe Fauré. « Ce deuil est aussi spécifique car il s’accompagne d’une quête obsédante de réponses quant aux raisons ayant conduit à ce geste. Il entraîne aussi un sentiment de culpabilité très lourd qui génère de la honte », poursuit-il. Les proches s’en veulent presque toujours d’être passés à côté de la détresse de l’autre ou de ne pas avoir su détecter les signes avant-coureurs du drame. Ce dont témoigne Nadine, qui a perdu sa fille Mylène, dans le livre de Katia Chapoutier : « Je n’ai pas été la mère qu’il fallait puisqu’elle en est arrivée à ce geste fatal ». « Je me sentais coupable de n’avoir pas su protéger mon petit frère », déclare de son côté Anne-Cécile, dont les deux frères se sont suicidés.

Les fondations détruites
« Il est fréquent aussi que la famille du défunt éprouve un sentiment de colère vis-à-vis de la société, des autres proches ou même de la personne qui s’est suicidée », complète Xavier Pommereau, psychiatre et chef du pôle aquitain des adolescents au CHU de Bordeaux. Et les personnes endeuillées qui ont perdu leurs repères avec le drame, traversent une crise identitaire : « Avec leur décès, j’ai eu le sentiment de perdre une partie de mon passé dont ils étaient les dépositaires », explique par exemple Anne-Cécile. Un sentiment d’amputation partagé par beaucoup de personnes endeuillées.

Commence alors une longue quête pour tenter de reprendre goût à la vie, comme le relate Elisabeth : « A partir du moment où son enfant meurt, c’est un combat de chaque jour pour se remettre debout ». « Longtemps j’ai eu l’impression d’être en survie. Cela a duré au moins 5 ans », explique de son côté, Catherine, la mère de Fabien. Certains parviennent à émerger seulement avec l’aide de leur famille et leurs amis. « Mais quand la douleur, la culpabilité et la honte deviennent paralysantes, il faut accepter de se faire aider par un spécialiste », conseille Xavier Pommereau. Et ce travail peut durer plusieurs années.

Accepter de ne pas avoir toutes les réponses
« La première condition de l’apaisement est d’arriver à apprivoiser l’idée que l’on ne comprendra jamais totalement les raisons qui ont poussé au suicide », indique Christophe Fauré. C’est ce qu’a réussi à faire Elisabeth avec le temps : « J’accepte le mystère de Camille », a-t-elle confié à la journaliste. « En cherchant tout ce qui pourrait expliquer l’acte, les proches finissent par comprendre souvent que le suicide est multifactoriel. Leur guérison commence quand il accepte l’idée que le puzzle ne sera jamais fini », commente Katia Chapoutier.

Les proches du défunt semblent aussi se départir d’une forme de colère lorsqu’ils arrivent à ne plus juger son geste définitif : « elle a fait ce qui lui semblait le plus doux pour elle. Elle voulait juste ne plus souffrir », affirme ainsi Nadine. Parlant de sa fille Céline, Jeanine finit par croire aussi qu'« elle était atteinte d’une maladie incurable ». Le fait de mettre à distance la culpabilité fait aussi partie du processus de réparation : « Il faut arriver à comprendre que l’on n’est pas surhumain, que l’on est faillible, que l’on ne peut pas tout pour les autres », explique Xavier Pommereau. Pour y parvenir, certains endeuillés participent à des groupes de paroles réunissant des personnes ayant vécu la même tragédie qu’eux. « Cela permet d’accélérer le processus. Car par effet miroir, on finit par comprendre que l’on n’est pas coupable », indique Katia Chapoutier. Mais selon Christophe Fauré « il restera toujours un filet de culpabilité, simplement il n’empêchera plus la personne de fonctionner » assure-t-il.

« Ils connaîtront à nouveau des moments de bonheur »
La reconstruction des proches après un suicide passe aussi par leur reconnexion avec la vie sociale. « Il ne faut pas rester dans son lit, même si se lever demande un énorme effort. Si on accepte d’ouvrir des volets, on ira mieux. Car l’aide naît des rencontres », insiste Xavier Pommereau. « Le retour au travail est par exemple bénéfique pour canaliser la pensée dans une autre direction », ajoute Christophe Fauré. « Il est nécessaire de retrouver le goût de l’autre », renchérit Katia Chapoutier. Dans son livre, plusieurs témoins expliquent d’ailleurs comment le fait de renouer avec des activités sportives, culturelles ou professionnelles les a aidés. D’autres ont trouvé du réconfort en s’investissant dans des associations. « Quand on aide, on s’aide soi-même », explique ainsi Jeanine. « Se déconcentrer, s’ouvrir, donner… même si on est soi-même amputé », résume Eric, le père de Camille. « S’investir pour les autres, ça donne du sens à quelque chose que l’on ne peut pas changer », analyse Katia Chapoutier.

Mises bout à bout, toutes ces initiatives pour retisser les fils de leur vie, finissent souvent par porter leurs fruits. « La vie continue même après ce grand drame. Un coin de leur âme restera noir et réapparaîtra à certains moments, mais ils connaîtront à nouveau des moments de bonheur », affirme Xavier Pommereau. « Le sentiment de plénitude, le bonheur total ne me sont plus possibles (…) En revanche, il est possible d’être plus serein, plus en accord avec soi-même », reconnaît Gilles, père de Céline. Et tous ceux qui ont vécu ce drame sont unanimes sur un point : ils se sont recentrés sur l’essentiel. « Après un tel événement, on a soif de rapports sincères, d’échanges profonds. Il n’y a plus de place pour les futilités », décrit Jeanine.

* La vie après le suicide d'un proche, Katia Chapoutier, Le passeur éditeur, 19,50 euros.
Bientôt en livre de poche !
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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2972 le: 12 décembre 2018 à 22:46:20 »
En cette période difficile, j'ai trouvé beaucoup de mots apaisants ce soir dans votre Petit Monastère et les liens qui s'y trouvent alors simplement MERCI.

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2973 le: 12 décembre 2018 à 23:54:32 »
En cette période difficile, j'ai trouvé beaucoup de mots apaisants ce soir dans votre Petit Monastère et les liens qui s'y trouvent alors simplement MERCI.

Que Dieu me reprenne tout... sauf mon regard triste, mon sourire mélancolique, mon humilité, mon humanité ! Je sais... pour quelqu'un qui ne demande ni ne croit plus en rien... c'est déjà beaucoup !

Federico
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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2974 le: 13 décembre 2018 à 07:42:05 »
L'idée me va. J'en suis pour le printemps, c'est nickel je pense.
Bizs.
pascal.
C'est dans les situations les plus difficiles et les plus désespérées que les individus trouvent le courage de se battre pour leur conviction. Tecumseh.

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2975 le: 13 décembre 2018 à 09:33:58 »
fédérico ce serait où?
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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2976 le: 13 décembre 2018 à 11:34:03 »
fédérico ce serait où?
katrin

BRUXELLES - BELGIQUE... peut être au printemps... c'est à l'étude !



Bisous   :-* Katrin
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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2977 le: 13 décembre 2018 à 11:47:35 »

Plus sérieusement Katrin, j'aimerai revenir sur ton écrit concernant ton fils qui a été tabassé par les CRS alors qu'il était pacifiste... mais accompagné par "une sale gueule d'étranger" !

"non je n'en reste pas là, on a fait un constat médical avec photos, et surtout son ami délit de sale gueule car étranger,e t dans le climat actuel et le recrutement de jeunes policiers plus mal formés et partant de plus loin en termes de niveau que ce qui pouvait être avant, est encore plus dangereux,  est en garde à vue depuis 41 h donc illégal, il n'a pas pu prévenir ses parents ni son avocat ni voir un médecin
manque de chance, je suis de plusieurs combats,  et un de mes métiers est déléguée du procureur, j'ai 3 professions, je ne vais pas en rester là ras le bol de cette impunité je le vois trop souvent dans les tribunaux  ils se serrent les coudes, ras le bol de cette société qui n'a pas les mêmes réponses selon qui on est
mon discours fait sans doute extrême moi qui ne le suis pas, mais il des combats qui ne peuvent pas s'éviter
katrin"


C'est absolument inacceptable ... intolérable ... Tu as tout mon soutien !
Maintenir l'ordre ce n'est pas frappé ni humilié NOS ENFANTS en les mettant à genoux, mains levées derrière la tête et contre un mur... comme si les flics allaient les fusiller !!! ( voir les images diffusées sur internet et les journaux télévisés !)
STOP A L'HUMILIATION..... OUI A VIVRE DANS LA DIGNITE !

Avec toi Katrin...

Amicalement, solidairement.
Federico
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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2978 le: 13 décembre 2018 à 16:33:07 »

Cher Pascal,

Merci pour tes supers messages...
J'adore te lire ! c'est toujours intéressant, enrichissant !
Je me questionne,  je cherche,  je réfléchis,  j'apprends... parfois, je suis triste... souvent, je suis content... je souris, je rigole !  :D
Aujourd'hui, j'ai un petit coup de mou... fatigue passagère et c'est le moral qui flanche !
Un super copain vient de se faire opérer d'une artère ! on a fêté ses 57 ans le 17 novembre chez lui ! ça a l'air d'aller !

Merci pour ta présence sur ce forum  :) ... Tu es mon éditorialiste préféré !  ;)

Tu es mon Ami.

Amicalement, solidairement.
Federico
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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2979 le: 13 décembre 2018 à 17:02:37 »
Et tous ceux qui ont vécu ce drame sont unanimes sur un point : ils se sont recentrés sur l’essentiel. « Après un tel événement, on a soif de rapports sincères, d’échanges profonds. Il n’y a plus de place pour les futilités »,

Tellement vrai, ce qui donne tout son sens à ta démarche Fed, de nous rencontrer...
Et pourtant, j’ ai toujours dédaigné les groupes de paroles de parents endeuillés. Mais ici, ce n’est pas de cela dont il s’agit. Oui, nous sommes endeuillés de quelqu’un qui comptait tant pour nous : mon fils, ta fille, ton fils, mais aussi ton neveu, ton conjoint, selon celui qui lit ceci. Si nous nous croisons régulièrement sur ce forum, c’est bien parce que, qui que soit celui que nous avons perdu, sa disparition nous a traumatisés, nous a laissés avec ce sentiment de grande solitude (que l’on soit entouré ou non, la solitude profonde de notre chagrin est bien là)... et puis il y a ce fil de discussion un peu décalé, qui apporte de la lumière au milieu de l’obscurité : un mélange de poésie, d’un peu d’ésotérisme, de propos révoltés, pas tellement d’humour, peut-être parce q’on n’ose pas trop, par pudeur, par peur que l’humour caustique et noir ne choque nos compagnons de deuil... on sait bien à quel point on peut être tellement sensibles et touchés par certains mots... et c’est plus difficile de percevoir ce qui pourrait choquer quand nos échanges sont exclusivement écrits.
Mais les groupes de paroles où l’on pleure ensemble sur notre sort, parler de mon fils sur les réseaux en l’appelant « mon petit ange », alors qu’il était un grand gaillard qui faisait une tête de plus que moi, publier des images kitsch et des phrases nunuches, ce n’est pas trop mon truc. Moi, je cherche et chercherai désespérément toute ma vie la lumière dans l’obscurité. Je veux des rires, des blagues, même glauques, je veux pouvoir pleurer, pas dans l’abattement, mais en parlant de celui qu’il était, de tout ce qu’il m’a apporté, mais sans les regards contrits autour, et sans que cela m’empêche de rire pour une connerie ou une blague de mauvais goût 15 secondes après... les proches que je continue de voir sont ceux qui acceptent naturellement ce mélange des genres, c’est cela la profondeur de nos relations. Et Pascal, je suis à 100% d’accord avec toi concernant l’humour : après sa noyade, mon fils a été amené à l’hôpital dans lequel il jobait comme brancardier. Quand ma sœur et mon beau-frère nous ont rejoint, mon beau-frère a sorti : « en tout cas, il est arrivé à l’heure à son boulot! ». Et nous avons éclaté de rire, tous (mon mari, ma fille, ma sœur, mon beau-frère, mes neveux et moi)! C’était absolument impensable de dire cela devant l’horreur, c’était complètement décalé, n’importe qui qui ne connaissait pas mon fils en aurait été profondément choqué. Et nous, on entendait presque Thomas rire avec nous... l’humour et le rire, ça permet aussi de pouvoir relâcher la pression, et puis, comment continuer à vivre si tout devient sérieux ???
Alors, OUI, j’ai envie de vous rencontrer, de vous embrasser, de vous présenter mon mari (qui lui n’est pas du tout branché forums de discussions), de vous écouter raconter qui vous êtes, qui était celui ou celle qui vous manque tant, de partager avec vous cette intensité, mais sans que cela vire au pathos, de passer un moment à refaire le monde, à rechercher ces éclats de lumière qui nous donnent justement envie de nous rencontrer...
Je vous embrasse,
Barbara

Merci Barbara..... merci et merci encore... sourire  :)... clin d'oeil  ;)

Bisous...  :-* :-* :-*

Amitiés.
Federico
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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2980 le: 13 décembre 2018 à 18:18:20 »
Mille mercis Fed! J'ai un peu les chevilles qui gonflent  8), ça va pas être fastoche pour le footing demain!
En tout cas, vraiment heureux de te sentir ainsi, avec et sans coups de mou comme on est tou(te)s.
C'est dans les situations les plus difficiles et les plus désespérées que les individus trouvent le courage de se battre pour leur conviction. Tecumseh.

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2981 le: 13 décembre 2018 à 21:56:29 »

https://www.youtube.com/watch?v=bSxaUx1Doc0

Dimanche (caresse-moi)

Yves jamait
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Hors ligne Catherine Th

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Re : Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2982 le: 13 décembre 2018 à 23:15:46 »
Aujourd'hui, j'ai un petit coup de mou... fatigue passagère et c'est le moral qui flanche !
Un super copain vient de se faire opérer d'une artère ! on a fêté ses 57 ans le 17 novembre chez lui ! ça a l'air d'aller !

Petit câlin de soutien pour toi,
un bon rétablissement pour ton ami,
 :-*
Catherine

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« Modifié: 14 décembre 2018 à 02:18:07 par Federico »
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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2984 le: 14 décembre 2018 à 15:08:08 »
SOYEZ DOUX AVEC VOUS... SOYEZ INDULGENT AVEC LES AUTRES !


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« Modifié: 15 décembre 2018 à 17:31:24 par Federico »
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