Auteur Sujet: Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !  (Lu 960338 fois)

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Hors ligne résilience et silence

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Parent divorcé et désenfanté
« Réponse #2775 le: 22 octobre 2018 à 07:54:20 »

La perte d'un enfant

Tout est terrible dans la perte d'un enfant. Il n'y a pas un âge ou une manière. Revendiquer le pire même si je le comprends aurait-il un sens ? L'essentiel est de respecter l'horreur et le traumatisme. Nous avons en commun d'avoir vu mourir notre enfant, d'avoir vécu ce qu'aucun parent ne devrait avoir à vivre.
Certains souffrent de ne pas avoir vu le corps mais même en ayant vu, on ne réalise pas et on continue à croire en apercevant une silhouette. Le rationnel n'a plus sa place.
Je n'ai pas pu lui dire au revoir... Il est mort seul... Il n'a pas souffert... Il a été assassiné, au mauvais endroit au mauvais moment, un accident une erreur, une disparition... C'est de ma faute, comment a-t-il, que s'est-il passé... ? Procès, attente, papiers indélicats...
Il n'y a pas de mot pour décrire ce que l'on subit à la découverte du corps de celui qu'on aime et de tout le questionnement et le choc que provoque un suicide. A ce propos, alors que les familles réclament que le tabou soit levé, ce qui est essentiel notamment au niveau de la prévention, le mot est rarement employé. Lorsque nous présentons celui que nous aimons, ce n'est pas suicide, on accole généralement au prénom "a choisi de partir", ce qui personnellement me trouble. Je ne parlerais pas de choix sauf peut-être en de rares occasions. Ils ne souhaitent pas mourir mais arrêter de souffrir. Savoir qu'ils en sont arrivés là n'est pas une consolation mais me paraît plus correspondre à leurs secrets, ceux qu’il faut respecter et auxquels nous n'aurons pas accès. Cela permet aussi d'avancer sur le chemin de reconstruction qui nous parait impossible après un tel drame et entendre que notre amour n'aurait pas pu sauver. Personne ne sauve personne. Il faut aussi savoir que ce n'est jamais une seule cause mais un ensemble d'éléments qui conduisent une personne à commettre l'irréparable avec en fond, une sensibilité très souvent, une vulnérabilité. C'est généralement plus complexe qu'il n'y parait et croire que l'on aurait pu l'éviter n'est pas évident. Ceux qui ont accompagné une personne qui a sombré le savent bien, ni les médicaments ni l'hospitalisation ni l'amour ne peuvent redonner goût à la vie sans un déclic. J'ai réussi à force de remises en question à mettre toute ma culpabilité et mes interrogations de côté sauf ce déclic, que je n'ai toujours pas accepté. Pourquoi certains ont-ils les armes pour supporter pire et pas d'autres ? Je devrai faire avec, tout comme la frustration de ne pas lui avoir transmis mon énergie, ma force vitale et ces souvenirs que j'aimerais tant effacer et qui brûlent ma chair.
Mais les images sont tout autant cruelles lorsqu'il s'agit d'accompagner son enfant vers une mort plus ou moins annoncée. Chaque étape de la maladie est autant d'espoirs déçus auxquels on se raccroche, de souffrances insupportables. On voit son enfant dépérir, s'éteindre et on assiste impuissant là encore à sa descente, guettant le moindre signe sur le visage du docteur qui nous laisserait croire à un miracle alors que notre enfant est plus léger que la plume. Où trouver l'énergie de lui sourire encore à travers la vitre, de lui tenir cette main si pâle, si faible ? Puis de lâcher...
Est-ce pour autant plus facile de n'avoir eu son petit que quelques heures ou rien, avec un trou béant au creux de ses reins et la frustration abyssale de ne pas l'avoir connu, de nos câlins, de notre avenir manqué. Un petit cercueil blanc, un berceau vide, une famille qui n'a pas eu le temps de le voir, la réa, les perfusions, bercer son petit corps.
Et ce père de quatre-vingt ans qui n'a plus la force de marcher ni aucun projet, le temps qui passe au compte-goutte pour repasser en boucle les moments du passé avec son fils qu'il vient de perdre.
C'est un deuil encore mal reconnu dans une société qui refuse la vieillesse et la mort. Le temps n'est plus le même. Chaque parent se dit que cela aurait dû être son tour, qu'il aurait donné sa vie pour. Chacun sait que sa famille, sa vie vont exploser et est terrifié à l'idée de ce qui l'attend. Certains d'entre nous y parviendront, d'autres moins. Nous n'avons pas le même vécu et l'histoire est différente. Difficile pour les frères et sœurs de trouver leur place, pour notre entourage de s'adapter. Certains s'éloigneront, pas seulement à cause du deuil, révélateur malheureux de la qualité de notre relation d'avant et du vrai visage de ceux que l'on croyait proches. Dans l'idéal, j'aurais à la fois aimé que l'on en tienne compte et que cela ne change rien.
Il faut passer par là pour comprendre. Mais pas pour tendre la main

C'est dans les situations les plus difficiles et les plus désespérées que les individus trouvent le courage de se battre pour leur conviction. Tecumseh.

Hors ligne Eva Luna

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2776 le: 22 octobre 2018 à 13:40:44 »
Merci Federico, j'avais mal cherché...ou trop vite...

Hors ligne Federico

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2777 le: 22 octobre 2018 à 14:12:57 »
Merci Federico, j'avais mal cherché...ou trop vite...

Pour TOI, Eva Luna..... toujours... même si tu penses que ...

Je t'embrasse.
B.
- Espérer, c'est avoir la force de sourire avec un cœur qui ne cesse de pleurer
- Qui pourrait me dire maintenant ce que je dois dire, écrire, croire, penser ou faire ? Personne ! je suis LIBRE !

Hors ligne Federico

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2778 le: 22 octobre 2018 à 15:56:40 »

Re : Parent divorcé et désenfanté
« Réponse #29 le: Aujourd'hui à 15:43:56 »

HIER...

Bonjour.
j'ai besoin d'une pause, façon temporaire d'aménager le silence. Un nouveau palier à franchir peut être.
Amitiés et pensées chaleureuses à vous tous.
Pascal.
« Modifié: Hier à 09:06:03 par résilience et silence »



Bonjour Pascal,

En toute amitié, je ne comprends pas ... aujourd'hui, tu as "copié-collé" le texte "la perte d'un enfant" dans Mon Petit Monastère  sous ton titre et sujet de "Parent divorcé et désenfanté" ... ???...

Apparemment, tu as effacé tous tes messages sur ton propre sujet ... ???

Franchement, avec toute la bonne volonté du monde, je ne comprends pas !!!
Et il n'y a pas la moindre explication de ta part...

Tu dis avoir besoin d'une pause... ça,  je comprends!

Je te souhaite bon repos et ... le meilleur pour toi !

Nous sommes tout deux... Papa divorcé et désenfanté... c'est brut, pur et dur !!!
Tu as mon soutien !

Amicalement, solidairement.
Federico

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Hors ligne Catherine Th

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Re : Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2779 le: 23 octobre 2018 à 00:18:22 »

C'est marrant comme un petit rien peut encore émotionnellement me faire vibrer...

Aujourd'hui, j' ai vraiment kiffé cet inattendu mais sympathique  "come-back" home sur le forum de ...
 Faïk... Nora... Noëlle... Stana... Cdi... Vol du papillon...

Cela a eu pour effet d'émoustiller les plumes... d'Eva Luna, Loma et souci...

Air nostalgique qui me tourbillonne dans le passé ... et dans le souvenir de partages authentiques et d'échanges enrichissants !!!

La roue tourne ... la vie continue... les temps changent... AIMONS ET VIVONS !

Bon c'est vrai je réagis un peu tard, juste pour dire que même si je n'ai pas connu cette période, ce dimanche 14 où le moral n'était pas top, ces échanges qui donnaient d'autres couleurs au forum m'ont apporté une éclaircie ....  :)

Hors ligne Federico

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2780 le: 23 octobre 2018 à 01:01:23 »

C'est marrant comme un petit rien peut encore émotionnellement me faire vibrer...

Aujourd'hui, j' ai vraiment kiffé cet inattendu mais sympathique  "come-back home" sur le forum de ...
 Faïk... Nora... Noëlle... Stana... Cdi... Vol du papillon...

Cela a eu pour effet d'émoustiller les plumes... d'Eva Luna, Loma et souci...

Air nostalgique qui me tourbillonne dans le passé ... et dans le souvenir de partages authentiques et d'échanges enrichissants !!!

La roue tourne ... la vie continue... les temps changent... AIMONS ET VIVONS !

Bon c'est vrai je réagis un peu tard, juste pour dire que même si je n'ai pas connu cette période, ce dimanche 14 où le moral n'était pas top, ces échanges qui donnaient d'autres couleurs au forum m'ont apporté une éclaircie ....  :)

Période bohème... cinglante, enrichissante... authentique, rigolote, passionnante... amicale, solidaire !
J'ai aimé cette période ... des tontons flingueurs !

Bises à toutes et surtout aux plus turbulentes... sacrées dynamiteuses à la gâchette facile ! de vraies chefs de bande !

Amicalement, solidairement.
Federico

PS : le modérateur ... le pôvre ! il avait vraiment du boulot à la Belle Epoque !
« Modifié: 23 octobre 2018 à 09:47:29 par Federico »
- Espérer, c'est avoir la force de sourire avec un cœur qui ne cesse de pleurer
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Hors ligne Federico

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2781 le: 23 octobre 2018 à 13:54:54 »

La Vie Pour L'eternite - Deuil

LA PERTE D'UN ÊTRE CHER EST UN NAUFRAGE, UNE TEMPÊTE, MAIS ENTRE LES VAGUES, IL Y A LA VIE

Il y a quelques années, un jeune homme qui venait de perdre son ami, a posté sur internet, cette simple phrase :
"Mon ami vient juste de mourir. Je ne sais pas quoi faire."

Parmi les nombreux messages de soutien qu'il en a reçu, un en particulier, a retenu son attention : celui d'un vieux Monsieur, qui avait perdu de nombreux êtres chers ...
Je vous le laisse découvrir :

"Laisse-moi te dire une chose : je suis vieux.
Cela veut dire que j’ai survécu (du moins jusqu’à maintenant). Cela veut dire aussi que beaucoup de gens que j’ai connu que j’ai aimé ont disparu.
J’ai vu mourir des amis, des meilleurs amis, des connaissances, des collègues. J’ai vu mourir mon papa, ma maman, mes grands-parents. J’ai vu mourir l’amour de ma vie. J’ai vu mourir des proches, des professeurs, des mentors, des élèves, des voisins, et tout un tas d’autres personnes. Je n’ai pas eu d’enfants, et je n’ose même pas imaginer la douleur que cela doit être que de perdre son fils ou sa fille…

Mais voici tout de même ma modeste contribution :

J’aimerais pouvoir te dire qu’on s’habitue, avec le temps, au fait que les gens meurent. Mais moi, pour ma part, je n’ai jamais su m’y faire. Et pour tout dire, je n’en ai pas envie. La vérité, c’est que cela me déchire de la façon la plus atroce quand une personne que j’aime meurt, peu importent les circonstances.

Mais je ne veux pas ne rien sentir. Je ne veux pas que ce soit juste “une chose qui passe”. Mes cicatrices, ma douleur, sont un héritage de l’amour que j’ai eu pour cette personne, de la relation que nous avons eu la chance de vivre ensemble. Et si la plaie est profonde, cela signifie que cet amour l’était aussi. Alors, qu’il en soit ainsi.

Nos cicatrices sont un héritage de nos vies. Elles attestent que nous pouvons aimer profondément, vivre profondément, être blessés au plus profond de notre âme et continuer néanmoins à vivre, et continuer néanmoins à aimer.

Et la croûte qui vient couvrir la plaie est plus forte que ce que ne l’était la chair.
Les cicatrices sont l’héritage de notre vie. Elles ne sont laides que pour ceux qui ne savent pas voir.
Et pour ce qui est de la peine, et pour ce qui est de l’absence, tu verras qu’elles viennent par intermittence, un peu comme le font les vagues.

La perte d’un être cher est un naufrage, une tempête

Quand le bateau sombre, au début, tu te noies, avec des morceaux d’épave qui flottent tout autour de toi. Tous ces débris qui ne font que te rappeler douloureusement la beauté, l’éclat, la splendeur passée de ce navire qui était, et qui n’est plus.
Et voilà tout ce que tu peux faire : flotter. Tu chercheras un morceau d’épave, tu t’y accrocheras pendant un moment. Ce sera peut-être un objet matériel. Cela pourra être un souvenir heureux, une photographie. Cela pourra être aussi une autre personne, naufragée comme toi de ce bateau, qui elle aussi essaie tant bien que mal de rester à la surface.
Pendant un temps, tout ce que tu pourras faire pour ton salut, c’est flotter, ballotté par les éléments. Essayer de rester en vie.

Au début, tu seras pris au cœur de la tempête, des vagues de trente mètres qui s’abattent contre toi sans merci. Elles arrivent toutes les dix secondes, et elles ne te laissent même pas le temps de reprendre ton souffle. Tout ce que tu peux faire, c’est t’accrocher, subir, flotter.

Après un moment, peut-être des semaines, peut-être des mois, les vagues seront toujours aussi énormes, mais tu verras qu’elles seront un petit peu plus espacées, elles te laisseront un peu plus de répit. Bien sûr, quand elles s’écrasent sur toi, elles t’engloutissent toujours, t’entraînent par le fond dans un tourbillon d’écume. Mais entre-temps, tu peux respirer, tu peux vivre.

Tu ne sauras jamais à l’avance ce qui déclenchera cette vague de chagrin. Cela pourra être une chanson, une photo, le croisement d’une rue, l’odeur d’une tasse de café chaud. Cela peut être tout et n’importe quoi… et les vagues continuent à se briser sur toi.

Mais entre les vagues, il y a la vie ...

Et au bout d’un moment, tu verras que les vagues se feront légèrement moins menaçantes.
Peut-être que les plus grosses mesureront vingt mètres. Ou quinze mètres. Et même si les vagues sont toujours présentes, même s’il y a toujours des lames de fond, elles continuent à s’espacer.

Désormais, tu as le temps de les voir arriver. Un anniversaire, une commémoration, un noël en famille … Tu les vois arriver, la plupart des fois, et tu as le temps de te préparer.
Et quand la vague se brise finalement sur toi, tu sais que d’une manière ou d’une autre, tu parviendras à ressortir de l’autre côté. Complètement trempé, toussotant, toujours accroché à ton petit radeau de fortune, mais tu ressortiras.

Voici donc le conseil d’un vieil homme, fais-en ce que tu voudras. Le flux et le reflux des vagues ne s’arrêteront jamais, et quelque part, tant mieux. Mais tu apprendras avec le temps qu’on peut survivre aux pires des tempêtes. Et que d’autres vagues arriveront. Et que tu y survivras, aussi.

Si tu as de la chance, tu auras beaucoup de cicatrices laissées par beaucoup d’amours. Et beaucoup d’épaves, aussi."

(Source INTERNET)

https://laviepourleternite.blogspot.fr/p/les-temoignages.ht

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2782 le: 23 octobre 2018 à 14:16:32 »
Oh merci Federico, je cherchais justement ce texte la semaine dernière, je l'avais perdu

Quelqu'un connait l'auteur ?
"si un jour je meurs et qu'on m'ouvre le coeur, on pourra lire en lettres d'or ... je t'aime encore"  William Shakespeare

Hors ligne Federico

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2783 le: 24 octobre 2018 à 01:12:59 »
https://www.youtube.com/watch?v=q1n8X6ADpnU..... Lââm..... Je veux chanter pour ceux qui sont loin de chez eux

https://www.youtube.com/watch?v=QBNERFkg6lU
« Modifié: 24 octobre 2018 à 01:19:03 par Federico »
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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2784 le: 24 octobre 2018 à 01:25:31 »
https://www.youtube.com/watch?v=EKc7F8a0ymU..... Ces proverbes africains vous feront mourir de rire
« Modifié: 24 octobre 2018 à 01:28:50 par Federico »
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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2786 le: 24 octobre 2018 à 16:04:45 »


" Je suis profondément optimiste sur rien du tout !"

Francis Bacon
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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2787 le: 24 octobre 2018 à 17:05:42 »

https://www.youtube.com/watch?v=LAVir8AkgVU..... Christophe

A découvrir... j'aime bien !

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Hors ligne Federico

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2788 le: 24 octobre 2018 à 17:20:10 »


https://www.youtube.com/watch?v=r-nO9mYp2CA..... Christophe..... t'aimer follement !
- Espérer, c'est avoir la force de sourire avec un cœur qui ne cesse de pleurer
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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2789 le: 24 octobre 2018 à 18:05:07 »

AQPS... Association Québécoise de Prévention du Suicide

https://commentparlerdusuicide.com/vous-etes-inquiet-pour-un-proche/#comment-parler

Papa de Raphaël
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