Coucou Kiné,
Je suis devant la petite fenêtre de ma modeste cellule monastique et je te vois encore à cette heure tardive d'une nuit humide et froide dans les allées automnales de Mon Petit Monastère... ici, tu es chez toi... tu penses à ton Amour de fils... Thom manque cruellement à vos vies !
Je ne voulais pas m'anticiper mais je sais pour Thom... cet effroyable weekend de Toussaint et... ce maudit 1er novembre !
Mains tendues... mains serrées... sincèrement !
Catherine-Mircea pense très fort à toi et... moi aussi, je pense à toi et à ta petite famille... amicalement, solidairement.
Acceptes tu une boisson chaude... un thé, un lait avec du miel, un petit chocolat... une madeleine...
Un peu de chaleur... un geste, un mot, un sourire... un brin d'humanité en toute humilité !
Fraternellement.
Affectueusement.
Federico