Bonsoir,

J'ai préféré un pseudo complétement bidon car ma mére consulte ce genre de site mais je ne peux m'empêcher de demander une petite aide externe. Je ne souhaite pas publier ce genre de message sur Facebook, ce serait stupide.

Ma situation:

En 2007, je perds mon cousin suite à une grave maladie, j'ai alors 14 ans, s'enchaine ensuite une grave rébellion ou crise d'ados où j'étais fâcher après mes parents de m'avoir trahis en ne m'éyant pas annoncer son décès et empêcher de me rendre à son enterrement car ils préfèrait que je passe des examents médicaux (oui j'ai une maladie depuis la naissance mais c'est pas mortelle).

Bref, aujourd'hui je suis quelqu'un de serein, calme et très ouvert sur le monde et même avec les gens l'inverse d'avant, j'ai réussi à pardonné mes parents grâce à un peu de lecture.

Je suis conscient que l'équilibre entre la vie et la mort est vitale (yin et yang) mais je suis dans une situation où j'ai peur et suis très inquiet.

Un ami à moi va mourir dans 6 mois à cause de la mucovisidose ce qui me rappel mon cousin et je ne peux me rendre à ses coté car il habite au sud de la france et je n'ai pas les moyens pour le moment pour m'offrir un ticket même si je fait tout pour.

Mon grand père maternel à 90 ans et comment vraiment à avoir sal mine...parfois il se laisse mourir et parfois il combat.
Ma grand-mètre maternel, à 87 ans et elle est alzaihmer.
Mes grands parents parternels ont 75 ans et commencent à faire leurs âge.

Ma phobie: qu'ils disparaissent tous en même temps, je serait alors anéanti et incapable de me relever !
Autre cas: Qu'ils meurent les uns après les autres (1 par mois) auquel cas je supporterai pas et ne répondrai pas de mes éventuelles idées....

Actuellement, je me dit "sois fort" mais je suis plutôt du genre sentimental.

Cordialement,

Je suis un peu dans ce cas là moi aussi.

A 7 ans, j'ai perdu mon premier oncle qui était aussi mon préféré et, depuis, les morts d'êtres chers ou d'êtres proches se sont succédées sans discontinuer. Que ce soient des amis, des parents, des relations.

 A chaque fois, c'est une petite partie de moi qui s'en va.

J'ai presque 60 ans et je me dis que, bientôt, ce sera mon tour.  Au moins, côté positif de la chose, je ne perdrai plus personne