Bonsoir Nanou,
Désolée que tu n'aies pu trouver l'aide espérée auprès des psychologues.
Je ne saurais dire comment cette incommensurable peine peut s'user.
Nous sommes tous si différents...
Pas plus, tu le sais bien, que je ne saurais, hélas, trouver les mots de la consolation.
Cet amour, si grand, si beau, était le soleil de nos vies.
Il fait le berceau de cette épouvantable douleur qui nous met à genoux lorsque nous perdons notre tant aimé.
Mais il fait la force qui nous tient debout, matin après matin, sur cette étrange route qu'il nous faut parcourir sans sa main sur la nôtre.
Aimer la vie pour ceux qui l'ont perdue.
Les garder au creux de nous, et les emmener partout où nous allons...
Puisse la nuit t'offrir le repos tranquille dont tu as besoin ; et une trêve dans le chagrin.