"La peine, la douleur d'avoir perdu quelqu'un que l'on aime très fort, on connaît tous et toutes malheureusement..."
Bonjour Vally.
Mircea a raison, Le deuil est lourd lorsqu'il nous impacte dans nos amours, qu'ils soient clandestins ou non. Le temps de fragilité et de grande vulnérabilité qu'il ouvre ne saurait non plus être nié, ses risques non plus. Et de plus, un deuil "masqué" majore certainement les dangers, dangers qu'un deuil amène quelle qu'en soit sa forme.
Le refoulement de telles douleurs ne peut, à mon avis, être lui non plus sans risques ou dommages, à terme, pour notre santé dans son ensemble. Si ce forum, dans un premier temps vous permet de gravir cette marche, celle de l'exprimer, ce sera certes porteur de salubrité et peut aider à vous ouvrir des forces à venir.
Freud ne dit-il pas lui-même que la condition humaine est si douloureuse qu'elle nécessite des adjuvants? Nous avons tou(te)s nos zones d'ombre et d'étayages.
Avec mon soutien pour cette dure épreuve "d'interdite de larmes". Très sincèrement et très respectueux du libre arbitre de chacun(e) en la matière, je trouve qu'un soutien thérapeutique serait indiqué et certainement utile, sous réserve de trouver un(e) praticien(ne) de qualité. Il y en a.
Pascal;