Des croquettes
je parle du chat évidemment.
En ce qui concerne ma mère et ma grand-mère. Elle souhaiterait probablement que je reste en vie. Mais étant donné qu’elles n’ont pas su prendre soin d’elle-même et qu’elle ne m’ont pratiquement jamais incité, appris à prendre soin de moi, c’est dur d’imaginer ce qu’elles auraient pu répondre. Dans ma famille, la douleur, la souffrance, la maladie est un espèce de passe droit. Plus tu es mal, plus tu as du mérite de faire quand même ( sans t’écouter) ce que tu dois faire par obligation/devoir/honneur. Mais si tu t’arrêtes pour te reposer, si tu pleures « comme un gamin », si tu as le malheur de parler de tes émotions… tu es « fragile », et tu perds instantanément la considération et le respect du clan familiale. Tu peux même devenir une insulte : « je ne veux pas fait une tentative de suicide, ma mère m’a gifler. Je sais que derrière, il y a l’amour, la peur et l’impuissance. Mais…
Avec mon chat pas d’inquiétude, pas de jugement. Juste une indifférence hautaine. Puis elle m’encourage à manger sainement puisqu’elle me rapporte des souris allégées en matières grasse.
Bilan du jour :
Le repas du matin et de midi, c’était nickel, ni trop ni trop peu.
Le repas du soir ( sans collation à 4h) c’était moins bien. J’ai manger sain mais j’ai manger trop.
Je n’ai pas fait de sport ou de marche aujourd’hui mais je ne suis pas non plus restée dans mon lit toute la journée.
Il faudrait que je m’hydrate mieux ( j’ai toujours soif avec le diabète)
Il faudrait que je prenne mon traitement pour réguler mon diabète.
Que je mette moins de sel dans mon alimentation
Que je dormes ( il parait que ca aide à maigrir)
J’ai perdu je me suis allégée de 4 kg depuis fin mai.
Une gommette verteJ’ai rdv chez la gastromachintruc le 13 juillet pour décider de la suite des examens…
J’ai peur. Mais j’ai pas encore dit mon dernier mot.