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Vivre le deuil de son conjoint / Re : être séparés dans cette vie-ci
« Dernier message par Stana le 22 février 2025 à 13:27:00 » Je le dis toujours: se préparer au pire, tout en espèrant le meilleur....
Cela dit, je voulais tout de même faire comprendre à cet ami que quoi qu'il arrive, je n'oublirais jamais tout ce qu'il m'a apporté. Mais je ne voulais pas le formuler comme ça, parce-que ce serait évoqué sa mort possible, et je ne pense pas que ce soit ce qu'il souhaite. Aussi, quand je l'ai revu quelques jours après, je lui ai dis, avec le naturel qu'il y a toujours eu entre nous, que je l'aime beaucoup, et que c'est en partie grâce à ses bons conseils que j'ai pus èvoluer dans plusieurs domaines de ma vie. J'ai ajouté: :"Je pense que j'y serais arrivée un jour ou l'autre, mais tu y a contribué, je tenais à te le dire." Il m'a souris amicalement, et quand nos regards se sont croisés, je pense que nous nous sommes compris.
Pour le moment, il est toujours actif, je le vois à son association, dans le parc, un peu partout....il semble vivre à peu près normalement, et il est toujours ègal à lui-même avec autrui. C'est quelqu'un qui a beaucoup de dignité et de courage. Quand je pense comme il était bon vivant, à tout egars, avant cette maladie
ça me parait d'autant plus injuste. J'ai beau me dire qu'il a eu, jusqu'à présent, la chance d'avoir une vie heureuse et complète, et une grande et belle famille....on ne peux pas s'empêcher d'espèrer toujours plus pour les personnes que l'on aime.
Voilà....ce n'était pas facile de mettre ces choses noir sur blanc, mais comme toujours, ça m'a tout de même fait du bien
Cela dit, je voulais tout de même faire comprendre à cet ami que quoi qu'il arrive, je n'oublirais jamais tout ce qu'il m'a apporté. Mais je ne voulais pas le formuler comme ça, parce-que ce serait évoqué sa mort possible, et je ne pense pas que ce soit ce qu'il souhaite. Aussi, quand je l'ai revu quelques jours après, je lui ai dis, avec le naturel qu'il y a toujours eu entre nous, que je l'aime beaucoup, et que c'est en partie grâce à ses bons conseils que j'ai pus èvoluer dans plusieurs domaines de ma vie. J'ai ajouté: :"Je pense que j'y serais arrivée un jour ou l'autre, mais tu y a contribué, je tenais à te le dire." Il m'a souris amicalement, et quand nos regards se sont croisés, je pense que nous nous sommes compris.
Pour le moment, il est toujours actif, je le vois à son association, dans le parc, un peu partout....il semble vivre à peu près normalement, et il est toujours ègal à lui-même avec autrui. C'est quelqu'un qui a beaucoup de dignité et de courage. Quand je pense comme il était bon vivant, à tout egars, avant cette maladie

Voilà....ce n'était pas facile de mettre ces choses noir sur blanc, mais comme toujours, ça m'a tout de même fait du bien



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Vivre le deuil de son conjoint / Re : être séparés dans cette vie-ci
« Dernier message par Stana le 22 février 2025 à 13:07:39 » Cet ami (je dois dire que même si nous sommes plus liés depuis environ un an, nous ne nous sommes jamais appelés par nos prénoms, il faudra que je lui demande de me redire le sien) , m'a beaucoup apporté dès cette première rencontre. Il m'a dit lui aussi, que c'était vraiement une bonne conversation, et depuis, nous nous sommes trés souvent reparlé, généralement dans ce même parc. C'est quelqu'un de très gentil, qu'à peu près tout le monde apprècie, et qui a beaucoup d'empathie. Ce que j'avais tout de suite ressentis-que je pouvais, sans crainte, parler littéralement de tout avec lui-n'a fait que se confirmer, et c'est souvent à lui, ces dernières années, que je me suis confiée instinctivement, quel que soit le sujet. Je savais toujours que je ne serais pas jugée, et qu'il saurait trouver les bons mots. Son aide m'a trés souvent été précieuse. A certaines périodes, je ne sais pas ce que j'aurais fait sans lui et ses bons conseils...
C'est quelqu'un qui donne des conseils objectifs et amicaux, sans minimiser ni dramatiser quoi que soit; il parle d'une manière détendue qui apaise et encourage en des tas de circonstances...par bien des côtés, il me fait penser à Jean-Louis et Marie-France, qui avaient cette même approche, et aussi cette capacité de se mettre à la place des autres, tout en restant objectifs. Avec le sourire qui vas avec
un exemple: c'est lui qui m'a le plus encouragée quand j'ai dû porté plainte contre cette sois-disant amie qui m'avait volée. Il a continué continué à m'aider, par la parole, dans d'autres domaines. Après m'être confiée à lui, je reprenais courage, je voyais les choses sous un meilleur angle. Cette dernière année, nous sommes devenus vraiment amis, et on se parlait plus que jamais. Lui aussi m'a un peu raconté sa vie, qui a été trés mouvementée à un moment donné, mais où il a trouvé son èquilibre. Il a des enfants, petits-enfants et même arrière-petits-enfants (il a eu son premier enfant très tôt
), Je sais qu'il est une référence pour les membres de sa famille, ce qui ne m'étonne pas du tout
Il dirige d'ailleurs, dans notre quartier, une association (une toute petite association, mais c'est déjà beaucoup) qui vient en aide aux femmes battues. Il y est toujours avec d'autres personnes de son âge, il m'arrive de passer leur dire bonjours
on a le sentiment que sa vocation dans la vie est d'aider les autres-et je ne suis pas la seule à l'avoir ressentis, puisque de nombreuses autres personnes viennent naturellement vers lui quand elles ont besoin de conseils ou de réconfort.
Et voilà ce que j'apprends....ce monsieur adorable, que j'en suis venue à apprècier à peu près autant que mes amis qui ne sont plus de ce monde, a un cancer de la gorge qui nécessite une opération lourde. Il continuait de sourire en en parlant, mais j'ai bien vu qu'il ne minimisait pas la gravité de ce qui lui arrive. Ca se voiyait dans son regard. Pourtant, il continue à se soucier des autres, et se réjouir lorsque ça vas pour eux....c'est quelqu'un qui a beaucoup de courage. Je ne peux qu'espèrer qu'il s'en sorte, et, si c'est le cas, pas trop diminué, mais je ne veux pas non plus être dans la forme de déni que j'ai connue plusieurs fois. Je sais que le pire est possible, et que je dois m'y attendre, au cas où....mais m'y "attendre", est-ce-que c'est m'y prèparer? Peut-être que oui, dans une certaine mesure, mais je ne veux pas que ça devienne non plus un deuil anticipé, puisqu'il reste de l'espoir.
C'est quelqu'un qui donne des conseils objectifs et amicaux, sans minimiser ni dramatiser quoi que soit; il parle d'une manière détendue qui apaise et encourage en des tas de circonstances...par bien des côtés, il me fait penser à Jean-Louis et Marie-France, qui avaient cette même approche, et aussi cette capacité de se mettre à la place des autres, tout en restant objectifs. Avec le sourire qui vas avec




Et voilà ce que j'apprends....ce monsieur adorable, que j'en suis venue à apprècier à peu près autant que mes amis qui ne sont plus de ce monde, a un cancer de la gorge qui nécessite une opération lourde. Il continuait de sourire en en parlant, mais j'ai bien vu qu'il ne minimisait pas la gravité de ce qui lui arrive. Ca se voiyait dans son regard. Pourtant, il continue à se soucier des autres, et se réjouir lorsque ça vas pour eux....c'est quelqu'un qui a beaucoup de courage. Je ne peux qu'espèrer qu'il s'en sorte, et, si c'est le cas, pas trop diminué, mais je ne veux pas non plus être dans la forme de déni que j'ai connue plusieurs fois. Je sais que le pire est possible, et que je dois m'y attendre, au cas où....mais m'y "attendre", est-ce-que c'est m'y prèparer? Peut-être que oui, dans une certaine mesure, mais je ne veux pas que ça devienne non plus un deuil anticipé, puisqu'il reste de l'espoir.
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Vivre le deuil de son conjoint / Re : être séparés dans cette vie-ci
« Dernier message par Stana le 22 février 2025 à 12:19:26 » Merci Qiguan
ce sont de "petites choses" en apparence, mais qui symbolisent toutes les autres, je m'en suis rendu compte en me relisant. Tout fait partie d'un même processus, c'est pourquoi ce que certains qualifierait de détails n'en sont pas en réalité 
J'ai remarqué aussi que des choses que nous aimions déjà avant nos deuils prennent une double signification par la suite, quand ils sont liés, d'une manière ou d'une autre, à nos aimés. Je pense par exemple à ces petites violettes que j'aime tant, et qui me font penser-en souriant maintenant-à Jean-Philippe. Ca n'a rien à voir avec le fait que le parfum de cette fleur m'apaise particulièrement, puisque c'était déjà le cas avant de le connaître, mais maintenant que tout ce qui tourne autour de cette fleur me fait ègalement penser à lui, c'est un petit plus, même niveau relaxation, quand je fais brûler de l'encens de violette
Ces temps-ci j'ai été vraiment sereine-je continue de l'être vis-à-vis de mes deuils notamment, mais j'ai appris, il y a quelques jours, une nouvelle qui m'a beaucoup peinée. Il s'agit d'un ami à moi-la seule personne de ma connaissance que je peux qualifier d'ami. J'ai déjà parlé de lui, je crois, mais je vais en dire un peu plus, étant donné les circonstances: il m'a dit qu'il vient d'apprendre qu'il a un cancer à un stade avancé, et qu'on vas l'opèrer ce 5 mars. Il n'est pas sûr de s'en sortir, et même si c'est le cas, il ne sera plus tout-à-fait le même
c'est difficile pour moi d'écrire ces mots, mais j'ai sentis que j'en avais besoin.
C'est un homme d'environ 75 ans, avec qui j'avais commencé à parler il y a quelques années, dans le parc en bas de chez moi. J'ai toujours aimé, l'été, m'assoir dans ce genre d'endroit, verdoyant, avec un livre. Je m'en souviens comme si c'était hier. Nous avons lié connaissance et èvoqué toutes sortes de sujets; je me suis tout de suite sentie à l'aise avec lui, et à un moment donné, nous avons parlé de notre vision de la spiritualité. Je ne me livre pas facilement à ce sujet-et pour cause, tant de de gens m'ont déçue
- mais cette fois j'ai sentis que je le pouvais, et j'ai parlé de mes deux deuils, dont l'un alors très récent, et de ma conviction que mes aimés existaient toujours, quelque part, et veillaient sur moi. Il a très bien compris. Ses croyances, bien que différentes des miennes sur certains points, les rejoignent pourtant sur l'essentiel, par exemple la foi en une vie après la mort. Il en parlait avec une tranquille certitude; cet échange m'a fait beaucoup de bien, et quand je lui ai dis que de mon côté, j'ètais sûre à 99% que nous continuons "après", il m'a répondu que lui, c'était vraiment à 100% qu'il y croyait,. La manière paisible et détendue dont il en parlait, en souriant, m'ont confortée dans ce mieux-être que je commençais à èprouver. Depuis, j'y repense de temps en temps, et le souvenir des paroles et du sourire de cet homme renforce ma propre sérénité. Je sais que ce sera toujours le cas, et je suis convaincue que cette rencontre n'était pas due au hasard.


J'ai remarqué aussi que des choses que nous aimions déjà avant nos deuils prennent une double signification par la suite, quand ils sont liés, d'une manière ou d'une autre, à nos aimés. Je pense par exemple à ces petites violettes que j'aime tant, et qui me font penser-en souriant maintenant-à Jean-Philippe. Ca n'a rien à voir avec le fait que le parfum de cette fleur m'apaise particulièrement, puisque c'était déjà le cas avant de le connaître, mais maintenant que tout ce qui tourne autour de cette fleur me fait ègalement penser à lui, c'est un petit plus, même niveau relaxation, quand je fais brûler de l'encens de violette

Ces temps-ci j'ai été vraiment sereine-je continue de l'être vis-à-vis de mes deuils notamment, mais j'ai appris, il y a quelques jours, une nouvelle qui m'a beaucoup peinée. Il s'agit d'un ami à moi-la seule personne de ma connaissance que je peux qualifier d'ami. J'ai déjà parlé de lui, je crois, mais je vais en dire un peu plus, étant donné les circonstances: il m'a dit qu'il vient d'apprendre qu'il a un cancer à un stade avancé, et qu'on vas l'opèrer ce 5 mars. Il n'est pas sûr de s'en sortir, et même si c'est le cas, il ne sera plus tout-à-fait le même

C'est un homme d'environ 75 ans, avec qui j'avais commencé à parler il y a quelques années, dans le parc en bas de chez moi. J'ai toujours aimé, l'été, m'assoir dans ce genre d'endroit, verdoyant, avec un livre. Je m'en souviens comme si c'était hier. Nous avons lié connaissance et èvoqué toutes sortes de sujets; je me suis tout de suite sentie à l'aise avec lui, et à un moment donné, nous avons parlé de notre vision de la spiritualité. Je ne me livre pas facilement à ce sujet-et pour cause, tant de de gens m'ont déçue

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Après le suicide d’un proche / Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Dernier message par kompong speu le 21 février 2025 à 23:13:16 »You ouh....
Top
Au moins une bonne nouvelle
Amicalement
Kps
Top
Au moins une bonne nouvelle
Amicalement
Kps
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Être un parent en deuil / Re : sam mon fils
« Dernier message par kompong speu le 21 février 2025 à 23:11:15 »Même pas le courage d'écrire
Le deuil n’est pas un instant. Ce n’est pas une ombre qui s’efface simplement parce que le temps avance. Il demeure, se transforme, et devient un compagnon silencieux pour ceux qui ont perdu un être aimé. Le monde voudrait croire que le chagrin a une date d’expiration, qu’il finira par disparaître, mais la vérité, c’est que la perte ne se contente pas d’emporter une personne—elle emporte aussi des fragments de la vie d’avant, réécrivant les fondations mêmes de notre existence.
Quand quelqu’un s’en va, le monde ne s’arrête pas. Le temps poursuit sa course, les gens continuent, les saisons changent. Mais pour ceux qui restent, tout bascule. Les lieux autrefois emplis de rires résonnent désormais du poids de l’absence. Les moments partagés laissent une empreinte incomplète. Ce n’est pas seulement l’absence que l’on pleure—c’est la perte de ce qui fut, la perte de tout ce qui aurait pu être.
Certains demandent : « Tu es encore en deuil ? » comme si le temps pouvait alléger l’amour qui a existé. Mais le deuil n’est ni une course ni un fardeau que l’on mesure en jours et en mois. Il s’entrelace à l’âme, reflet de la profondeur d’un amour donné et reçu.
Pourtant, au cœur même du chagrin, il y a une résilience. Une force discrète dans le fait de porter des souvenirs, d’apprendre à vivre dans un monde qui n’est plus tout à fait le même. Le deuil n’est pas une prison, il est une manière d’honorer ce qui a été perdu tout en avançant. Il est la preuve que l’amour ne s’éteint pas. Il se métamorphose.
Alors, laissez le deuil être. Qu’il existe sans honte. Il n’est pas une faiblesse, mais l’écho d’un amour qui se prolonge au-delà de la perte. Certains ne comprendront pas, mais ceux qui savent reconnaissent que le deuil n’est pas un refus d’aller de l’avant—il est le témoignage d’un amour qui ne s’effacera jamais.
Anne Dugar
Le deuil n’est pas un instant. Ce n’est pas une ombre qui s’efface simplement parce que le temps avance. Il demeure, se transforme, et devient un compagnon silencieux pour ceux qui ont perdu un être aimé. Le monde voudrait croire que le chagrin a une date d’expiration, qu’il finira par disparaître, mais la vérité, c’est que la perte ne se contente pas d’emporter une personne—elle emporte aussi des fragments de la vie d’avant, réécrivant les fondations mêmes de notre existence.
Quand quelqu’un s’en va, le monde ne s’arrête pas. Le temps poursuit sa course, les gens continuent, les saisons changent. Mais pour ceux qui restent, tout bascule. Les lieux autrefois emplis de rires résonnent désormais du poids de l’absence. Les moments partagés laissent une empreinte incomplète. Ce n’est pas seulement l’absence que l’on pleure—c’est la perte de ce qui fut, la perte de tout ce qui aurait pu être.
Certains demandent : « Tu es encore en deuil ? » comme si le temps pouvait alléger l’amour qui a existé. Mais le deuil n’est ni une course ni un fardeau que l’on mesure en jours et en mois. Il s’entrelace à l’âme, reflet de la profondeur d’un amour donné et reçu.
Pourtant, au cœur même du chagrin, il y a une résilience. Une force discrète dans le fait de porter des souvenirs, d’apprendre à vivre dans un monde qui n’est plus tout à fait le même. Le deuil n’est pas une prison, il est une manière d’honorer ce qui a été perdu tout en avançant. Il est la preuve que l’amour ne s’éteint pas. Il se métamorphose.
Alors, laissez le deuil être. Qu’il existe sans honte. Il n’est pas une faiblesse, mais l’écho d’un amour qui se prolonge au-delà de la perte. Certains ne comprendront pas, mais ceux qui savent reconnaissent que le deuil n’est pas un refus d’aller de l’avant—il est le témoignage d’un amour qui ne s’effacera jamais.
Anne Dugar
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Discussions Générales / Re : cherche témoignages perte d'un parent en tant qu'enfant/ado
« Dernier message par assiniboine le 21 février 2025 à 14:21:36 »Je suis désolé pour la mort de votre frère si jeune
Je suis de tout. Cœur avec vous.
Amicalement
Philippe
Je suis de tout. Cœur avec vous.
Amicalement
Philippe
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Vivre la perte d'un parent / Re : J'ai perdu mes deux parents en deux mois
« Dernier message par comment faire le 21 février 2025 à 11:24:09 »Bonjour à vous deux,
Juste deux réflexions :
- les situations, ou plutôt la façon de les vivre, sont très différentes en fonction des individus, Fox l'a déjà dit, on ne peut que le confirmer;
- pour beaucoup de personnes, la peine, la souffrance ressemblent à un parcours dans un escalier circulaire : ça s'en va (au moins en grande partie), ça revient, ça repart, ça revient ...
Courage, que puis-je te souhaiter d'autre ?
Juste deux réflexions :
- les situations, ou plutôt la façon de les vivre, sont très différentes en fonction des individus, Fox l'a déjà dit, on ne peut que le confirmer;
- pour beaucoup de personnes, la peine, la souffrance ressemblent à un parcours dans un escalier circulaire : ça s'en va (au moins en grande partie), ça revient, ça repart, ça revient ...
Courage, que puis-je te souhaiter d'autre ?
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Après le suicide d’un proche / Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Dernier message par assiniboine le 20 février 2025 à 22:55:57 »Bonsoir Michèle
Oui je dois être content de cette stabilité et puis profiter de chaque instant avec joie et sérénité .
Je t embrasse
Philippe
Oui je dois être content de cette stabilité et puis profiter de chaque instant avec joie et sérénité .
Je t embrasse
Philippe
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Après le suicide d’un proche / Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Dernier message par Mimi64 le 20 février 2025 à 20:46:04 »Coucou Philippe,
Je guettais ton résultat.
STABLE...que ce mot est agréable à entendre .
La journée a du être éprouvante, je te souhaite une bonne soirée et je t'embrasse.
Michèle.
Je guettais ton résultat.
STABLE...que ce mot est agréable à entendre .
La journée a du être éprouvante, je te souhaite une bonne soirée et je t'embrasse.
Michèle.
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Après le suicide d’un proche / Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Dernier message par assiniboine le 20 février 2025 à 19:33:51 »Bonsoir B
Le cancer est stable. Donc je continue mon traitement avec des comprimés.
Il me reste des ganglions cancéreux et je n ai pas l impression Qu on puisse les rendre sain
J envisageais le pire donc je m estime heureux avec cette stabilité
Amicalement
Philippe
Le cancer est stable. Donc je continue mon traitement avec des comprimés.
Il me reste des ganglions cancéreux et je n ai pas l impression Qu on puisse les rendre sain
J envisageais le pire donc je m estime heureux avec cette stabilité
Amicalement
Philippe