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Discussions Générales / Re : Les petites phrases dont on se passerait bien
« Dernier message par Stana le Aujourd'hui à 16:58:45 »
  Il y a aussi une phrase à la con dont je me souviens parfaitement (heureusement qu'elle n'a pas provoqué d'atroces images en moi, comme ç'aurait pus être le cas  :-\ ) un prétendu ami-j'en suis bien revenue depuis-qui m'a dit plusieurs fois, après l'incinération du corps de mon compagnon: "Ca devait être horrible, de l'imaginer en train de cramer"...Non mais, est-ce-qu'on dit ce genre de chose?  :o et le pire, c'est qu'il n'était même pas maladroitement compatissant: non non, il ricanait, sans une ombre d'empathie  >:( 
  Non, ce n'était pas horrible: déjà, j'ai réussi à ne pas penser aux "détails" de l'incinération, qui, d'ailleurs, c'est connu, est trés rapide. Et ensuite, c'est bien moins horrible que l'image durable d'une lente décomposition, sous terre. J'arrivais à bloquer mes pensées à ce propos après la mort de Pierre, je me concentrais sur son âme, mais de temps à autre, des images me traversaient malgrès tout. Donc non, je n'ai pas eu d'horribles visions après la crémation du corps de Jean-Philippe.
  Ce qui n'enlève rien à l'indécence, et à la cruauté, plus ou moins consciente, de la petite phrase de ce con  :( >:(
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Discussions Générales / Re : Les petites phrases dont on se passerait bien
« Dernier message par Stana le Aujourd'hui à 15:32:29 »
  Au tout début de mon deuil-ça ne faisait que quatre ou cinq semaines que Jean-Philippe était décèdé,-un  abruti-et qui n'ètait même pas malintentionné, je le sais, c'est ça qui est dingue, m'a demandé: "Alors, ça vas? Le deuil est fait?...."  :o sans commentaire...

  Mais il y a eu pire,  bien pire, quatre jours exactement après la mort de Jean-Philippe. J'allais passer l'après-midi chez mon amie Marie-France, mais le bus venait de me passer sous le nez. J'allais me décider à y aller à pieds-ce n'était pas si loin que ça-quand une voiture s'est arrêtée à ma hauteur, et le conducteur m'a proposée de m'emmener. Je sais, ce n'est pas prudent, mais j'ètais tellement exaspèrée d'avoir raté le bus que j'ai accepté.
   J'ai dit que j'allais chez une amie, et j'ai donné l'adresse. Et voilà que le bonhomme a commencé à me dire qu'il me connaissais, que quelques années plus tôt on avait discuté, plusieurs fois, alors que je fumais ma cigarette devant un bar-il m'en a même donné le nom, mais j'avais beau lui dire que je ne m'en souvenais pas du tout, il insistait...j'ai fini par lui dire: "Ecoiutez, là, j'ai autre chose à penser: mon compagnon est mort il y a quatre jours." "Ah?" a-t-il fait, avec un ton et une expression de visage complètement indifférents, comme si je venais de parler d'un incident  :o aucune compassion, aucune parole de condoléance, rien. Et quelques secondes après, il a enchainé: "Mais si, je te connais, on discutais devant tel bar, tu fumais ta cigarette!" Et il insistait là-dessus, j'ètais sciée :o >:( et il m'a plusieurs fois tapoté la cuisse, d'un geste plutôt lourd j'ai trouvé...alors que je venais de lui dire que je venais à peine de perdre mon compagnon! Quatre jours, et lui, il ne pensait qu'à son intêret immédiat, il s'en foutait complètement  :o  je lui ai dit poliment mais fermement: "Vous seriez gentil de ne pas me toucher, monsieur, je ne supporte pas les contacts physiques."
  Il a effectivement arrêté, mais il a continué son histoire de bar, et, alors qu'on arrivait, il m'a demandé d'un ton navré-et pas navré pour mon deuil, ça se voyait bien!: "Non? Tu ne vois pas ce que je veux dire?" Ben non  ::) Et quand je suis dessendue, il m'a lancé, avec un grand sourire: "A bientôt!" C'est ça: compte là-dessus et bois de l'eau!

  Incroyable...je suis toujours indignée quand j'y repense. Depuis, je suis plus avisée, mais il n'empêche que je n'aurais jamais cru un tel comportement, un tel ègoïsme possibles, face à une personne en plein  deuil  >:(  c'est pour ça que je ne m'ètais pas méfiée. Mais comme quoi, tout existe...

 
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Discussions Générales / Re : Les petites phrases dont on se passerait bien
« Dernier message par Stana le Aujourd'hui à 15:10:20 »
  Les années qui ont suivis le décès de Pierre, ce premier compagnon que j'ai perdu, j'en ai eu un nombre incalculable de ces petites phrases et/ou comportements déplacés, maladroits ou même carrément malveillants  >:( je me souviens en avoir posté beaucoup ici  :( après mon départ du forum, j'en ai eu encore un certain nombre d'autres-je prèfère ne pas en parler, elles me feraient encore mal si j'y repensais; dans le fond, elles se ressemblent toutes  :( plus stupides, voire même cruelles, les unes que les autres...en revanche, j'ai besoin de mettre noir sur blanc les phrases déplacées auquelles j'ai eu "droit"  ::) concernant mon d'oeil d'après, celui de Jean-Philippe, le compagnon que j'ai eu après Pierre, et que j'ai ègalement perdu. Il y en a heureusement moins, beaucoup moins: l'expèrience aidant, j'ai cette fois soigneusement éviter de m'ouvrir à n'importe qui: je sais que ça joue souvent de très mauvais tours, et ne fait qu'ajouter à la douleur du deuil.

  La première dont je voudrais parler concerne ce forum  :o elle est toute récente. Je disais à une connaissance à moi que j'ètais trés contente d'avoir à nouveau accès à internet, principalement pour èchanger sur un forum qui m'avait toujours fait du bien, appellé "les mots du deuil"  ;) le type m'a demandé, d'un ton de totale incompréhension: "Parler de la mort vous fait du bien?" J'ai essayé de lui expliqué que c'était un forum d'entraide, qui faisait vraiment du bien à ceux qui s'y inscrivaient, et qu'il y avait des conseils pour avancer, aller mieux, un partage d'expèrience, de souvenirs,  de spiritualité etc...mais rien à faire: il n'a décidément rien compris, et il a finit par dire: "A votre place, je me méfirais de ce genre de forum à la con"  :o je n'en ai plus parlé, ça n'aurait servi à rien...

  Hé bien, oui, ce forum fait du bien, et ça en fait aussi de pouvoir parler librement de ce que nous vivons, ou avons vécu, même si ce n'est pas toujours évident,  d'èchanger, de s'entraider, et aussi d'èvoquer les bons souvenirs, de s'apporter de l'espoir, d'une manière ou d'une autre. C'est bien parce-que tout le monde ne comprend pas tout le positif de ce genre de forum justement, que certains auraient l'impression que ça empêche d'avancer, de "tourner la page" comme ils disent, que j'èvite généralement d'en parler. Cela dit, il y a plusieurs personnes de ma connaissance qui comprennent très bien que ça me fait du bien de m'exprimer sur ce forum  :)

  Ca m'avait tapé sur les nerfs  >:(
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Vivre le deuil de son conjoint / Re : être séparés dans cette vie-ci
« Dernier message par Stana le Aujourd'hui à 14:49:02 »
  Il y a une chose dont je n'avais pas encore parlé, et qui m'est revenue ce matin: j'avais déja èvoqué le terrible moment où, juste après la mort de Jean-Philippe, j'avais dû nettoyer son sang. Je n'en avais oublié qu'une petite goutte, et il se trouve qu'elle est restée-comme quoi j'ai eu raison de nettoyer tout de suite: je ne le savais pas, mais le sang, ça reste  :( j'ai eu beau frotter et refrotter avec toutes sortes de produits, cette goutte oubliée est restée incrustée, pendant toute l"année que j'ai encore passer dans cet appartement.

  Avant mon déménagement, j'avais finit par me sentir de nouveau bien dans ce bel et grand appartement où nous avions été si heureux, et à ne plus penser, le plus souvent, qu'aux beaux souvenirs. Sauf lorsque mes yeux venaient se poser, par inadvertance, sur cette trace minuscule mais qui èvoquait les pires souvenirs. Alors, je devais faire un gros effort pour ne pas avoir de nouveau ces images terrifiantes dans la tête. J'èvitais, autant que je pouvais, de regarder dans cette direction, mais comme mon canapé était juste à côté, ça arrivait quand même de temps en temps. Cette unique petite goutte de sang incrusté était comme un symbole, le symbole de l'un des pires moments de toute ma vie...j'avais lus des choses de ce genre, mais dans des romans, je n'aurais jamais cru que ça m'arriverais un jour  :o mais j'ai remarqué qu'il n'est pas rare que les romans parlent  de choses que nous éprouvons, ou vivons à un moment ou à un autre de notre existence. Parfois on s'en passerait bien  :(

  Quand j'ai déménagé, c'est la première pensée que j'ai eue: ne plus voire cette goutte de sang.

  C'est dans un nouvel appartement, un nouvel environnement, un nouveau quartier, avec de nouvelles habitudes que j'ai pus prendre un vrai nouveau départ, et ne plus penser-même si je dois toujours me surveiller-qu'aux beaux souvenirs partagés avec Jean-Philippe, plutôt qu'aux circonstances traumatisantes de sa mort.
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Vivre le deuil de son conjoint / Re : Pourquoi ?
« Dernier message par Stana le Aujourd'hui à 14:09:10 »
  Bonjours Marie. Tu as eu raison de venir sur ce forum, on y trouve tout le réconfort et les bons conseils possibles. Il a déjà aidé de nombreuses personnes. Bien sûr, on prèfèrerait tous ne jamais avoir eu besoin de s'y inscrire, mais les choses étant ce qu'elles sont, ce forum est très utile, quel que soit le deuil vécu, ou le stade du deuil d'ailleurs. Ca ne peux faire que du bien d'en parler, d'èchanger avec des personnes qui comprennent, qui savent ce que nous vivons-ce n'est pas toujours la même chose dans la vie de tous les jours...ici, tu peux exprimer tous tes ressentis, tout ce que tu vis, comme ça te vient, dès que tu en èprouve le besoin, il y aura toujours quelqu'un pour te lire. 

  Cette perte si brutale de celui que tu aimais tant est un traumatisme, un grand bouleversement dans ta vie, il est tristement naturel que tu èprouve cette avalanche d'émotions. Il n'y a pas grand chose à faire, à part les acceuillir,  les accepter quand elles viennent. Ca fait partie du long et douloureux processus de deuil. Nous connaissons tous, ou avons tous connu cette première phase si difficile, ce terrible sentiment d'injustice, ce manque, ce vide immense...il faut beaucoup plus de temps pour que le pire de la souffrance s'adoucisse un peu, puis davantage, un pas aprés l'autre...ce laps de temps varie d'une personne à l'autre. Je peux témoigner que oui-j'ai connu deux deuils consécutifs de ce genre-il vient un jour où la douleur s'apaise, et finit par laisser place à une nostalgie qui, elle, sera bien sûr toujours là, mais qui n'empêche plus de vivre à peu près normalement. On n'oublie pas, c'est impossible-pour ma part je ne le voudrais pas d'ailleurs, même si je le pouvait,-et même si on a toujours des regrets,  on en vient à accepter, à èvoquer avec douceur les beaux souvenirs, à les chérir comme un âge d'or révolu on vas dire...

  Bien sûr, tu n'en est pas là, c'est un cheminement complexe, mais j'espère que ça vas vraiment t'aider de t'ouvrir à nous, d'èchanger.

  Je te souhaite tout le courage possible.
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Vivre le deuil de son conjoint / Re : Pourquoi ?
« Dernier message par qiguan le Aujourd'hui à 12:38:11 »
En dehors de ce forum pour partager la première urgence est de contacter l'association dialogue solidarité vous dans le lien que je t'ai donné
Tu auras les premiers soutiens adaptés
Puis voir côté association Amiez pour des activités avec d'autres
Un conseil au début note que tu es en couple ça t'évitera des tracas/des dragueurs

Mais tu pourras y faire de belles activités
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Vivre le deuil de son conjoint / Re : Pourquoi ?
« Dernier message par Mariemo33 le Aujourd'hui à 11:32:42 »
Merci à vous, Poète endormie, c'est si douloureux qu'on en devient autiste, égoïste, je sais pourtant que tous et toutes vous avez vécu  ce que j'endure, parfois encore plus . J'ai tellement  peur de ce repli sur soi, que cette douleur construise un mur d'indifférence qui isole mon esprit des autres, je ne sais plus que faire, comment réagir, faire face ... Une telle épreuve ne peut être surmontée sans aide, seule dans son coin. Et c'est mon cas, aujourd'hui encore je n'ai eu personne à qui parler. Alors je m'adresse à lui, mes monologues sont ponctués de te souviens-tu, je t'aime, reste encore auprès de moi ... ce sont de vaines suppliques sans réponse mais je m'accroche à l'espoir qu'il vienne dans mes rêves.
J'ai ouvert un .doc où je lui écris mon quotidien, lui remémore les souvenirs qui nous sont chers, lui dit la torture de gérer les conséquences de son départ. Dans le temps du deuil, il faut fossoyer la vie à deux qu'on s'était construit, çà s'appelle une succession. Ces démarches matérialistes, je n'en peux plus, elles résonnent comme une profanation de ce deuil.
Avez vous trouvé la paix Poète endormie ? Je vous envoie mille baisers affectueux.
Prenez tous soin de vous. La vie nous malmène mais ne peut nous ôter notre amour.
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Vivre le deuil de son conjoint / Re : Pourquoi ?
« Dernier message par poète endormie le Aujourd'hui à 10:11:44 »
Bonjour Mariemo 33

Je vous souhaite la bienvenue sur ce forum de réconfort. La lecture de votre message m'a rappelé ces premiers jours, mois, si compliqués. Si je  peux me permettre de vous donner un conseil c'est celui-ci : ne retenez pas vos larmes ! lorsqu'elles arrivent : laissez couler, elles vous permettront après leur passage de reprendre pied pour quelques instants au début, puis quelques jours ensuite et plus tard quelques mois.
Aujourd'hui à 13 mois de solitude j'en suis là. Mais elles ne sont jamais très loin je le sais.
Pour ma part j'ai commencé un cahier où je lui écris, je lui parle comme s'il était là. Petite consolation qui me permets d'avancer car on évolue dans ce parcours qui est bien un parcours de combattant.
Au tout début je ne pouvais regarder les photos alors que maintenant je les regarde avec nostalgie et tristesse bien sûr.
Dans les premières semaines je ne pensais pas arriver à ce stade, comme vous j'étais dans l'effondrement mais le forum, l'entourage, les vidéos de Christophe FAURE,  m'ont permis de tout doucement reprendre pied.
Je commence UN PEU (pas comme je le devrais) à apprécier les petits moments de douceur, par contre je ne refuse pas d'y participer : repas en famille, cinéma, concerts. Au début cela pique un peu,  puis par la répétition cela devient plus simple.
Ecoutez vous surtout mais aussi parfois boostez-vous pour évoluer comme votre compagnon de là où il se trouve espère que votre avenir devienne possible.
En résumé il faut s'inventer, se créer une troisième partie de vie. L'enfance puis notre vie de mariés et maintenant une vie de veuf/ve. Ce sera la plus difficile car on n'oubliera jamais bien évidement notre moitié. Je me dis qu'une partie de moi l'a suivi dans son au-delà mais une partie de lui est restée en moi, c'est évident.
Mille courages
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Vivre le deuil de son conjoint / Re : Pourquoi ?
« Dernier message par Mariemo33 le Aujourd'hui à 10:02:07 »
Bonjour Qiguan, merci pour les pistes que tu m'as donné. Même si c'est encore tôt pour avoir le courage de les suivre, elles me seront utiles dans l'avenir. J'en suis encore à croire que je vais me réveiller de ce cauchemar. Surtout la nuit, quand j'étends le bras et qu'en touchant le drap vide je me réveille tout à fait, seule. C'est d'autant dur pour moi que nous nous sommes connus tard, j'avais 39 ans. Nous n'avons pas eu d'enfants, il m'a dit que son fils était élevé, qu'il ne désirait pas se réinvestir dans une nouvelle naissance alors j'ai eu peur de  le perdre si  ce sujet devenait un motif de discorde.  Nous avons quitté en 2005 la région parisienne pour venir s'installer ici, près de Bordeaux. J'ai un beau fils adorable, sa femme et ses deux petites filles le sont aussi. Je considère les filles comme mes petites filles. Ils habitent dans un autre village que le mien, environ 25 kms. C'est à la fois proche et loin, mais de toute façon je veux les laisser vivre leur vie, je ne veux pas squatter quiconque. Ce drame a bouleversé aussi tous les projets que nous avions construits. Je devais prendre la retraite l'an prochain, lui , retraité de l'armée et du civil, conduisait un bus scolaire en attendant que j'ai fini de travailler. Nous n'avons pas eu le temps de nous créer une vie sociale au sein de notre village, et cette solitude me pèse. Jamais je ne m'étais sentie seule auparavant, c'et maintenant un gouffre qui s'ouvre devant ma vie. Peut-on se faire des amis à 63 ans ? Je ne sais. Et je n'arrive pas à me projeter dans l'avenir sans lui, sans sa présence réconfortante qui m'assurait à tout moment que oui,  j'étais capable d'avancer. On croit que la vie nous donne, non, elle prête. Et finit toujours par récupérer ce qu'elle nous a prêté. Sans nous apprendre pour autant à s'en passer., c'est à nous d'y arriver seuls mais c'est tellement dur.
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Vivre le deuil de son conjoint / Re : Pourquoi ?
« Dernier message par qiguan le Hier à 22:46:32 »
triste bienvenue là où tu pourras cheminer écrire crier en mots être comprise
tu trouveras
Citer
mais de maladie :

http://forumdeuil.comemo.org/vivre-le-deuil-de-son-conjoint/deces-brutal/
http://forumdeuil.comemo.org/vivre-le-deuil-de-son-conjoint/nos-defauts-s'amplifient-ils-avec-le-deuil/msg31212/#msg31212
http://forumdeuil.comemo.org/vivre-le-deuil-de-son-conjoint/aneantie-mais-en-vie/msg63861/#msg63861
http://forumdeuil.comemo.org/vivre-le-deuil-de-son-conjoint/pour-celui-qui-n'est-plus-la/msg79995/#msg79995
http://forumdeuil.comemo.org/vivre-le-deuil-de-son-conjoint/deces-de-mon-mari/msg10331/#msg10331
http://forumdeuil.comemo.org/vivre-le-deuil-de-son-conjoint/une-jeune-veuve-de-plus/msg22834/#msg22834
http://forumdeuil.comemo.org/vivre-le-deuil-de-son-conjoint/mon-amour-est-parti-au-mois-d'avril/
et d'autres choses dans
http://forumdeuil.comemo.org/vivre-le-deuil-de-son-conjoint/en-guise-de-table-des-matieres/

un TRÈS long chemin devant toi qui démarre
les premiers mois sont difficiles, la première année particulièrement difficile et les autres très compliquées

pour moi ce fut :
lire ici les autres plus anciens que moi sur le chemin pour comprendre que oui on peut survivre  !
rencontrer plusieurs fois des personnes connues sur ce forum
psychothérapies
lectures
écrire ici = tenter d'aider d'autres

et ma fille, me spetites filles furent un ancrage

et une règle prendre soin de moi comme lui voudrait  ...

tu seras souvent lue sans réponses mais sache que tu es comprises
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