Voilà, deux ans aujourd'hui que tu es parti bien trop vite, si brutalement que je n'arrive pas à réaliser. ...toi, mon petit frère, mon unique frère.
Toi si loin de nous, dans ce grand pays où tu avais reconstruit une vie, ce pays que tu appréciais et qui te le rendait bien. Tu ne reviendras pas cette fois, mais je sais que du haut de cette colline qui domine la baie, tu as une vue extraordinaire.
Chaque fleur, chaque plante, chaque arbre....c'est toi......que les colibris, papillons et autres oiseaux t'accompagnent pour toujours, que le vent du soir sèche tes larmes et que le soleil couchant réchauffe ton coeur.
Tu es avec nous pour toujours mon frère.
Je t'aime.