Mon cher Antoine,
27 juillet 2011, 22 H 15, ton dernier souffle te libérais de ton corps de douleur, de ce corps devenu prison.
Ne plus te voir souffrir fut un soulagement, mais notre chagrin de ne plus te voir vivant fut accablant.
Je ne m'habitue pas à ton absence et pourtant aujourd'hui en présence de tes enfants et de ta femme chérie
je t'ai senti là, avec nous, nous avons parlé de toi et malgré tout, cette journée a été belle et sereine.
Merci Antoine pour tout ce que tu as été, un fils, un frère, un copain, un tonton, un mari, un papa ... tu as croqué la vie comme si tu avais senti qu'il y avait urgence à vivre.
Tu nous as appris, en effet, qu'il y avait urgence à vivre et nous savourons tous les petits instants de joie que nous donne la vie.
Merci mon grand, je suis fière d'avoir été ta maman.
Je t'aime pour l'éternité,
Ta maman