Ma chère Kompong Speu,
Je regrette de devoir m'éloigner quelque temps de ton chagrin, des mexicains chagrins ...
Je dois essayer d'aller mieux, je pleure quand je te lis, et je doute fort d'arriver à te faire sourire ...
Et pour le moment, il faut absolument que j'arrive à sourire, c'est une question de vie ou de mort.
Je m'en veux de partir un peu, mais je suis sûre que serai plus à même d'aider les autres si je reprends du poil de la bête ...
Dans l'état où je suis, ça vaut mieux pour tout le monde que je me soigne un peu.
Bisou, Martine.