Romane, comme toi beaucoup de questions, beaucoup de chagrin. Une attente interminable, une envie de le serrer dans mes bras, de le voir rentrer à la maison, l'entendre dans sa chambre parler au téléphone ou jouer à sa console de jeu...
Des nuits blanches à lui parler dans ma tête, à pleurer et n'avoir qu'une envie : le revoir
Comment accepter l'inacceptable ? je n'ai pas la recette, je suis devenue une automate, je fais le quotidien machinalement sans envie, sans goût, parce qu'il faut le faire... et mon travail n'en parlons pas : il me fait c.... plutôt qu'autre chose, mais impossible de mettre la clé sous la porte, j'ai 3 salariés et suis obligée de continuer...
Je suis à plat, vidée, bousillée...