Auteur Sujet: MON PAPA CHERI NOUS A QUITTE LE 18 JUIN 2012  (Lu 4177 fois)

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cachou

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MON PAPA CHERI NOUS A QUITTE LE 18 JUIN 2012
« le: 17 juillet 2012 à 19:44:58 »
Bonsoir,
Mon papa est décédé brutalement le 18 juin 2012. Depuis le 14 juin, Il avait une douleur dans le bas ventre du côté gauche. Le médecin a supposé un problème d'intestin et lui a prescrit un médicament. La douleur s'est un peu aténué mais lui a fait chuter la tension pour laquelle il avait un traitement. Il a donc arrêté ce médicament dont les effets indésirables étaient hypotension. Le week end, il n'a pas été en forme mais n'a pas voulu aller à l'hôpital et a souhaité rappeler le médecin le lundi 18 juin matin. Mon papa a dit au médecin qu'il était essouflé, il lui a prescrit un médicament pour augmenter la tension qui avait baissé à 10. Après le départ du médecin, ma mère s'est absentée 20 minutes pour aller chercher le fameux médicament à la pharmacie. A son retour, papa était parti. Le Samu n'a pu le réanimer et a conclu à un décès par embolie massive. Demain, cela fera un mois que papa nous a quitté. Une partie de moi est morte avec lui ce jour là.
Nous sommes anéantis. J'adorais mon père. Il me manque. Je souffre tellement. Je ne peux accepter l'idée de ne plus jamais le revoir, entendre son rire... Chaque matin, depuis son départ, je me réveille en espérant avoir fait un cauchemar.
Blandine
« Modifié: 20 juillet 2012 à 07:46:03 par cachou »

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Re : MON PAPA CHERI NOUS A QUITTE LE 18 JUIN 2012
« Réponse #1 le: 22 juillet 2012 à 23:43:42 »
Bonsoir Blandine
Je t'envoies plein de courage dans ton épreuve. Si tu veux correspondre avec des personnes comprenant ton deuil je pense qu'il te faut écrire dans un autre module. Je suis certaine que tu auras des réponses plus aidantes par des personnes subissants le même deuil que le tien.
Je t'envoies toute la force qu'il me reste pour te soutenir, douce nuit à toi et à ta famille.
Martine, maman de Madeleine
Ce n’est pas parce que vous ne voyez pas de larmes que je ne pleure pas.
 Ce n’est pas parce qu’à nouveau je souris que j’oublie.
 Ce n’est pas parce que j’ai l’air heureuse que je vais mieux.
 Je peux vous offrir le visage qui vous fait plaisir,
 Mais il n’empêche qu’à l’intérieur, je meurs.