Et merci aussi Mircéa de faire l'effort de tenter de comprendre ce que j'ai tant de mal à mettre en mots...
J'avais pris comme point de vue, ma propre disparition, plus facile à évoquer que celle d’Emmanuelle à ce moment du jour mais j'ai pu, plus tard, écrire la suite sur mon blog:
"(Questionnement)Qui cherche à masquer/dévoiler, en même temps, le questionnement sur l’absurde absolu de cette mort pour moi.Questions sans forme et sans mots donc sans réponses.
Que reste t il d'Emmanuelle...
Quelle trace dans nos vie, dans nos coeurs, dans nos esprits...
Elle laisse quoi...quelle empreinte...
Et à quoi ça rime, à quoi ça sert...
Le néant reste inhabité inhospitalier!
Qui pense encore à elle, hormis nous, le premier cercle souffrant...
Cette présence intérieure qui est censée nous accompagner pour le reste de nos vies, comment on la fait, cette intériorisation d'un défunt...
Quel mécanisme est donc grippé chez moi..."