Merci à toi qui donne du sens à mon acharnement  à écrire...
parfois, .. souvent je me demande à quoi ça sert...
Tous les autres anciens partent...
je reste...
je me sens encore tellement en manque..
si je ne viens plus ici, il me restera quoi?

tu me manques tant mon Gaël ... je t'aimeeeeeeeeeeeeeeee

 Bonsoir Loulou,

Merci Loulou... c'est gentil... mais c'est pas toujours beau ce que j'écris !
J'écris avec mon chagrin, ma douleur, ma souffrance...
J'espère écrire avec plus de sérénité, plus de zénitude, plus de joie, d'optimisme, espoir...
Merci beaucoup !
Je me sens naturellement proche de toi et de Wewell, je vous lis toujours et tous les jours... même si je n'interviens pas... je vous connais bien ! et je suis de tout cœur avec vous deux !
Vous êtes solidaires... vous participez, soutenez, aidez...
Merci à toi Loulou, merci à toi Wewell.

Bien Amicalement.
Federico

Merci à toî Frederico pour ce dernier message... Comme dit Loulou tous dans le même bateau, prêts et prêtes à couler, mais nos bouées de sauvetage lancées, nous nous y accrochons pour rester la tête hors de l eau, et jusque maintenant ça va... En pleine brasse coulée, même si le fond n est pas très loin par moment, on arrive à faire surface grâce aux uns et aux autres ici...
Si je m étais dit qu un jour je serais sur un forum quotidiennement à parler à mon fils, à parler à des inconnus (qui n en sont plus maintenant), je ne m aurai pas cru, n étant pas du tout adepte à Internet et à ce genre de façon d échanger et discuter...

Dans tous les cas, je renouvelle mes remerciements à tous pour vos lectures et vos écrits, ils me permettent de me sentir épauler par des amis et amies inconnus il y a encore 3 mois de cela.

Les jours glissent sur moi, les saisons aussi ... je n'arrive pas à "capter" ... rien ne m'interesse ... les gens sont heureux, ils sont en vacances ... m'en fou des vacances ... les jours sans travailler sans toi ne sont plus des vacances ...
vendredi ... j'ai revu ce matin, dans le salon, tout le monde qui etait là ce matin là, je revois ton père en pleure ... presque pas dormi cette nuit ...

Mais quand on vit trop beau, trop fort, on en oublie le temps qui passe
Comme on perd un peu le nord au milieu de trop vastes espaces
À peine le temps de s'y faire, à peine on doit laisser la place
Ô si je pouvais

Encore un soir, encore une heure
Encore une larme de bonheur
Une faveur comme une fleur
Un souffle, une erreur
Un peu de nous, un rien de tout
Pour tout se dire encore ou bien se taire
Un regard, juste un report
À peine encore, même s'il est tard

Si j'aimais rien demandé, ça c'est pas la mer à boire
Allez, face à l'éternité, ça va même pas se voir
Ça resteras entre nous, ô juste un lèger retard

j'aimerai tant que tu sois là ... c'est un réel crie de douleur cette phrase ! que ce jardin est vide sans toi ... pourtant il a fait beau ... pas envie de manger dehors ...
on a bu un coup pour la naissance de la petite fille d'une collègue, une qui lui dit " tu as bien fait les choses, un gars, une fille ! "
moi aussi j'ai bien fait les choses ... mais tu n'es plus là, j'en souffreeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

On me disait aussi , tu as de la chance , le choix du roi.