Oui marre qu il ne soit pas la, marre qu il ne soit plus la.........jusqu a quand..........pour toujours, mais parfois je me dis pour toujours, c est jusqu a quand.........

Marre...

Quelques mots, on se comprend en quelques mots et cela réconforte.
Merci à  vous amies et amis de ce forum.

Stellarose
Tu sais que parfois on n' a pas besoin de mots...
Les petits signes sont si importants, j' en percois parfois, me disant alors que ce ne sont que des coincidences, et pourtant......Je les scrute....
J' espère que tu recevras ce petit signe.....qui fait que l' on tient, jusqu' au prochain.....
Je t' embrasse fort

Nous ne nous souvenons presque jamais de nos rêves, sauf exceptionnellement de ceux que nous faisons juste avant de nous réveiller.
Tu dois être dans ce cas. Moi, des fois, la journée, je vois ou j'entends quelque chose qui me renvoie à un rêve que j'ai fait (parfois plusieurs nuits avant). En me levant, je ne m'en souvenais absolument plus et là : hop, des bribes me reviennent.
Il y a aussi des moments de somnolence qui nous renvoient vers notre passé (cet après-midi : après avoir fermé les yeux, pendant quelques secondes je me croyais à nouveau dans la maison de mes parents, j'en étais persuadé). Mais il ne faut pas forcer les choses, juste attendre qu'elles viennent ... de toute façon je suis persuadé qu'en vieillissant, nous serons moins pris dans la tourmente de la vie au quotidien, et cela libèrera en nous des moments de disponibilité pour mieux percevoir ces moments-là. Et c'est tant mieux.
Par contre je confirme ce que beaucoup de personnes ont déjà dit : plus on s'éloigne de la date de la disparition de notre être aimé, moins les "signes objectifs" extérieurs à nous se manifestent.  C'est du moins ce qui m'arrive aussi.

merci pour ce partage
ces petits paquets d'amour sont si précieux
un cadeau qui n'a pas de prix...

Je ne sais pas pourquoi  mais je sens que la nuit sera courte, mais je m'en fiche, je ne travaille plus.
Hier, j'ai  parcouru les collines, peut-être  ai-je mis mes pas dans tes pas lorsque toi aussi tu les as parcourues pour la toute dernière  fois. Je me demande encore comment tu as fait pendant ces deux jours pour écrire  ces lettres avec comme seule compagnie ton chien ?
Tu as pensé  à  nous, dis ? Tu as pensé  à  ton petit bout ? Que t'est-il arrivé pour que tu disjonctes ?  Pression, médocs?  Cocktail explosif qui a tout bousillé  dans ta tête à  tel point que tu n'as pas supporté  de vivre un jour de plus ? Quoi, mais quoi ?  Je me poserai la question encore longtemps et je sais que jamais je n'aurai  la réponse.

Il paraît  qu'il  faut user son deuil, dire, écrire encore et encore. Tu ne peux pas savoir à  quel point je suis en manque de toi mon fiston, non tu ne peux pas le savoir. Et combien tu manques à  tous ceux qui t'aiment.
Tu t'inquietais pour ta grand - mère, sais-tu qu'elle continue à  me poser toujours la même  question ? Que puis-je répondre?  Rien, je n'ai  pas la réponse, mais elle ne veut pas entendre  et recommence sans arrêt.  Je sais pas si je ne vais pas craquer, à  force.  C'est  dur pour elle, mais dur pour nous aussi.
Ben voilà,  mamie m'a fait perdre le fil de mes idées, et bien tant pis pour ce soir j'arrête  là.

Le 14 ca fera un an pour moi. L année la plus affreuse de ma vie et ce n est pas fini.
Ma fille je t aime j attends un signe de toi, aide moi à survivre