Je crois que personne n’oublie c'est peut être un peu tôt, pour l’évoquer, tout simplement ,chacun replié sur ses propres souvenirs et sur la douleur de l'absence
De la peur aussi de faire mal ( alors que cela ferait tant de bien ), de la pudeur, ne pas savoir faire....
Avec le temps, cela devient plus simple, surtout lorsque c'est nous , qui commençons, avec des souvenirs heureux communs , des anecdotes, comme si nous donnions la permission de.... alors les langues se de lies....
Du temps, toujours lui.....
Je t'embrasse.