Coucou, Bmylove,
Je voudrais souvent, à toi, ainsi qu'à Mike,
trouver un mot de réconfort et puis justement, je me "mets à votre place", mais je n'y suis pas et c'est une place à ne souhaiter à personne, de se sentir chargé de culpabilité dans un enchevêtrement de causes et d'effets qui dépassent les liens que vous entreteniez avec vos aimés qui ont rompu avec la vie ...
Purée, le suicide, qu'est-ce que c'est pervers ... qu'est-ce que ça accuse de tous côtés ... qu'est-ce que ça souligne comme fautes, fautes, et encore fautes ...
Et fautes et jugements ...
A tel point que de "ne rien savoir" reviendrait peut-être la sagesse ...
Il y a cette histoire d'Adam et Eve chassés du paradis parce qu'ils ont goûté au fruit de la connaissance du bien et du mal ...
Ah, si nos suicidés avaient pu retrouver l'amour du goût d'une simple pomme ...
Mon texte est ce qu'il est, Bmylove, je me suis lancée, je ne pouvais plus rester sans essayer de te dire qqch ...
Retiens avant tout que j'ai franchi le blanc de l'écran parce que je t'aime bien, tout simplement. Et que je voudrais bien que tu ne sombres pas.
Affectueusement et avec les moyens du bord, M.