Bonsoir, je viens chercher du réconfort vers une écoute qui doit surement me comprendre.

Voilà j'habite paris, Le 31 décembre, mon ex mari s'est jeté sous un rer, même si on était séparé, j'ai perdu un ami qui m'était très cher, cela faisait 10 ans que je le connaissait, j'ai perdu une partit de moi car j'ai eu un garçon de 5 ans. On a voulu se reconscruire petit à petit car il avait changer, je me suis dit pourquoi pas cela faisait 5 ans qu'on était séparé, et on c'était tout dit nos relations etc... On voulait faire un essai jusko jour ou tout à basculé, ses symtômes de schyzophrénie se sont déclancher, il était parano, il avait des hallucinations, et surtout il entendait des voix. Comme je n'habitait pas enore avec lui j'avais des doutes mais ce qui est sur c'est qu'il était dépressif. Ses frères on essayer de le prendre en charge, ils ont essayer de l'hospitalisé, je n'ai pas eu de nouvelle depuis une semaine, je savais qu'il était pas bien c'est au bout d'une semaine qu'il ma dit qu'il était à l'hopital et qu'on l'avait relaché. Moi je pensais qu'il allait mieux qu'il prenait un traitement car il avait les symptomes d'une personne qui prenait des antidépresseurs, tremblement, fatigue etc.. Je faisai beaucoup de recherche sur sa maladie etc... Il refusait de voir sa maladie, quand je lui disait de voir un psy, il me disait qu'il allait bien tinkiète etc... Il était froid, j'avais l'impression de parler à un mur, un coup il me disait qu'il m'aimait, un coup il me disait que ça servait à rien il y a plus rien entrenous.
Il prenait plus son traitement, du jours au lendemmain, il a arreter, et le 31 décembre il a pris son fils, car même séparer, il s'est toujours occupé de lui, il a toujours pris, malgré c'est défaut c'était un très bon père, il me donnais une pension, alors que nous étions pas encore divorcé. etc
J'ai vu qu'il était pas bien, je lui est proposé de passer le réveillon avec moi, il m'a dit non, je vais rentrer chez moi, il habitait avec un de ses frères. J'ai voulu essayer de le dissuadé de se soigner, il a pas voulu, il m'a encore demander si je voulais revenir, car meme si on s'était dit qu'on allait tourner une paje, qu'on allais revenir ensemble, il était persuadé que je voulais pas, il pensait que j'était entrain de lui parler alors que parfois je lui parlait pas, il était dans des pensées, profonde, comme s'il vivait dans un autre monde, bref j'avais un mur devant moi. Je lui est dit tant que tu te soignera pas je reviendrai pas, alors que d'habitude je lui disait oui, pour le rassuré mais j'ai craqué je supportait plus cette froideur, je savais  plus quoi faire.

C'est la police qui m'a appelé, , il avait disparu depuis le 31DEC, ils ont mis une semaine pour l'identifié avec une emprunte, car de la façon dont il c tué, il ne restait plus rien. J'ai pas voulu aller toute seule au comissariat, j'ai toute de suite appelé ses frères et ma soeur, c'est là ou j'ai appris.

Je me sens coupable, je me dit que j'aurait pas du lui parler de cette façon, je crois que j'ai été la dernière personne de la famille à l'avoir vu, après personne ne sait ce qu'il a fait, tout ce qu'on sait, c'est qu'à 18h30, il a été dans un rer pour se suicidé.

Je ressent comme un vide, je comprend pas pourquoi il a fait ça alors qu'il avait un garçon, c'est un sentiment d'abandon. J'y arrive pas, il était tunisien et on l'a enterrer en tunisie, je n'ai pas vu voir son corps, car la police m'a déconseiller, je n'ai pas pu aller à son enterrement car il a été enterrer à l'étranger, la bas je connaissais pas ma belle famille , et je sais comment se passe les enterrements les femmes n'ont pas droit d'y assister, j'ai préféré rester avec mon fils.

Là je me dit que c'est pas possible, j'ai encore son téléphone, je me di qu'il va peut  etre m'appeler, j'ai encore du mal à y croire.

IL y a un an, j'ai perdu mon père j'accepte plus sa mort car mon papa avait azheimer, il avait 82 ans, c'est une mort naturelle, même si je me dit que mon ex mari était malade, pour moi c'était un accident, je refuse de voir le suicide, il était pas bien, je n'arrive pas à accepté.

J'aimerai temps dormir pour oublier, j'y arrive pas, je vais voir un psy mais parfois on a encore besoin de discuté, le temps effacera nos blessures, mais il effacera jamais mon ex mari, je pourrais jamais l'oublier. Je l'aimais tellement, aujourd'hui je reste debout mon fils de 5 ANS. Je suis issue d'une famille nombreuse, et mon ex mari aussi je sais que mon fils ne manquera jamais de rien, là je doit jouer le role des 2 parents, j'ai peur pour l'avenir, j'ai peur de son adolescence.

J'ai besoin de comprendre et de discuté, j'ai l'impression que je suis seul à connaitre cela, à paris il a 3 suicide par semaine à la ratp, on se dit que ça nous arrivera jamais, mais quand ça nous touche on pense pas au victime et surtout à la souffrance des familles.

Voilà désolé pour les fautes d'orthographes et d'expression

Bonjour DALIMIMI, mon ami s'est suicidé le 25 Décembre, le jour de Noél. Nous avaons également un fils de 2ans, je suis dans la même souffrance que toi car personne n'a rien vu même moi qui vivait avec je n'ai rien vu, il était pas dépréssif rien ne montrait qu'il allait si mal et cette nuit là, c'est moi qu'il l'ai trouvé, il m'a envoyé un message "prends soin de mon fils" j'étais en voiture j'ai du arriver 15 minutes aprés qu'il se soit pendu c'est encore plus terrible car à quelques minutes j'aurai pu le sauver..... Je ne comprends rien à ce qui m'arrive depuis plus d'1 mois, je suis complétement perdu et cette image de lui pendu me hante..... J'avance pour mon fils car c'est ma force malgre que je souffre qu'il n'est plus son papa, il était si fier de son petit je ne comprends pas comment il a pu le laisser je suis en colère contre lui il avait pas le droit de nous laisser souffrir comme sa!!!!! Il est en paix aujourd'hui mais nous NON on souffre et c'est de pire en pire chaques jours, il me manque terriblement...... Il faut que tu-sois bien entourée surtout, c'es ttrés important pour toi et ton fils!. Pendant 1 mois je suis réstée chez ma mère et je suis enfin retournée chez moi avec mon petit c'est trés dur car j'ai l'impresion qu'il va revenir mais non il reviendra pas...... La vie est cruelle je n'ai que 26 ans j'ai déjà vécu cette souffrance car mon papa s'est suicidé il y'a 7ans et j'avais enfin réussi à faire mon deuil et là paffffffff sa me retombe encore dessus sauf que je n'ai plus la personne qui m'a aidé il y'a 7 ans, car mon ami m'avais bien aidé mais là il est partit lui aussi....... Voilà mon histoire, je ne t'ai pas apporter beaucoup de réconfort mais au moins tu-vois que tu-n'est pas toute seule à vivre ce cauchemar et que si tu-veux parler je suis la et toutes les personnes de ce forums sont là aussi pour te répondre et t'apporter du soutien..... Courage il faut tenir le coup, nos conjoints ont décidés de partir c'est leur choix mais pas le notre, nous sommes la n doit avancer même si c'est trés dur..... On les rejoindra plus tard mais en attendant ils sont la prés de nous, il veille sur nous et sont dans notre coeur; Bonne Journée.

bonsoir, vos témoignage me touche énormémenT, justine mon ex mari m'a dit exactement la meme chose le dernier jour ou je les laisser il m'a dit fait attention à mon fils, en prononcant son prénom. Quand je me suis séparé je suis retourner vivre chez mes parents. J'ai beaucoup de frère et soeurs, cousines, j'ai des amis, qui me soutiennent, je vois un psy il me conseille aussi, il m'a donné des médocs je les prends pas je veux pas devenir dépentente de ses trucs là ça me fait peur. Mais je me sens seule si seule, que j'arrive plus, à dormir, j'y pense tout le temps, dès que je prend le métro je pense à lui, parfois je regarde les rails, et je vois sa tête. J'en ai les larmes aux yeux.
Rien qu'en lisant vos témoignage j'en ai pleurer, depuis 3 semaines je pleurs tout les soirs, il suffit que je pense à lui et mes larmes coulent. J'ai perdu ma moitié, j'étais proche, déjà quand on était marié on avait un amour fusionnel, on arrivait pas à se séparé, on était tout le temps ensemble, même séparé, on comptait l'un sur l'autre. A paris j'ai la seule amie qui lui restait, petit à petit il perdait ses amis, et je cupabilise vraiment car je me dit que s'il est devenu schyzo c'est de ma faute, parce qu'il a commencé à aller mal lors de notre séparation. Je me dit que si j'étais pas partit, il aurait été bien, il aurait pas fait toute ses conneries, quand on était marié il était normale mais il avait un caractère de cochon, que je supportait plus.

Parfois c'est tellement dure, que moi aussi j'ai envie de le rejoindre, parce que comme vous dites, les morts partent, mais c'est ceux qui restent qui souffrent le plus. Quand mon père était décédé, je me dit que c'est mieux ainsi, il est décédé chez lui, il a pas souffert, il était vieux, c'est normale, avec le temps ça ira, j'ai fait ma vie, j'ai mon fils. Mais là j'ai rien qui me retiend à part mon fils de 5 ans, c'est ma lumière, mon hoxygène, ma vie, sans lui je crois que je me serai déjà donné la mort.

J'ai beau me dire qu'il était dépressif, que j'ai bien fait de partir, que si ça se trouve il était malade depuis longtemps car quand on disputait plusieurs fois il m'a dit qu'il allait partir, et que mon fils comprendra quand il sera grand, moi je pensais qu'il voulait partir et revenir. Etc...Que sa maladie etait dangeureuse pour moi, mon fils et son entourage mais surtout pour lui, je savais qu'il était pas dangeureux, je savais qu'il avait des idées suicidaire. J'aurais pu signer une décharge pour l'hospitalité, c'est le si qui me ronge l'esprit.

Comment se guerrir de ça, on se dit qu'avec le temps ça ira, mais voilà, je me peux pas m'empécher culpabilisé.

Merçi justine, si je me bat c'est uniquement pour mon fils, je sais qu'il a besoin de moi c'est pour cela que la journée j'esai de rester forte, je lui montre pas ma souffrance, c'est le soir ça m'empeche de dormir, je suis en formation pendant 3 semaines, j'apprend un métier que j'ai toujours aimer de faire, normalement je devrais etre contente, j'ai attendu ce financement depuis 1 an, et là maintenant que j'y suis, je suis pas contente, j'y vais parce que ça me plait, mais sans plus. C'est quand je prends le métro faut que je pense à lui et ça me donne pas envie d'avancer. Heureusement que mon fils est là parce qu'il suffit que je pense à mon fils et là j'y vais, et je reste debout.

Le pire c'est que les bons conseils je les ai dans ma tête, c'est pas de ma faute, il était malade, il était dépressif etc.... Mais je peux pas m'empécher de penser au si....

J'ai peur pour après, ma formation, ne pas travailler c'est dure de rester à la maison à rien faire, j'ai plus envie de rien faire, le travail c'est la santé aussi. Heureusement que je suis entouré, si non j'aurais pas pu avancer.

Comme on dit ceux qui sont partit ne souffrent plus, c'est ceux qui restent qui souffrent. Paix à son âme, je sais qu'il me voit de la haut, et j'espère qu'il repose en paix. Amine

j'aimerai que le temps passe aussi vite pour que j'arrete de souffrir, mais voilà faut etre patitente, moi ça fait un mois qu'il est plus là et il me manque terriblement déjà un mois il me manque j'imagine plus longtemps j'ai peur de l'avenir, j'ai peur de pas y arriver, de pas atténuer cette souffrance,  y a des jours ou tout va bien comme aujourd'hui, mais hier quand j'ai lu certain témoignage dans ce forum, ça m'a tellement touché que mes larmes se sont coulés tout seule car tout ce que vous ressentez je le ressent en ce moment.
Sa fait du bien de discuté avec plusieurs personnes, si vous avez besoins je suis là.

voilà 6 semaines demain, que j'annonçais à mes deux enfants de 20 et 22 ans le suicide de leur papa...nous étions séparés.
La semaine après l'enterrement de leur papa, j'ai eu des reproches difficiles à entendre, mais j'ai pu leur parler, leur parler de leur papa...aujourd'hui, je bloque sur tout...j'ai peur de leur parler, j'ai peur de m'effondrer...je me sens tellement démunie face à leur souffrance, tellement impuissante.