Merci pour vos réponses....
J'ai lu que s'il n'existe pas de "hiérarchie" dans la souffrance, les victimes comme nous se sentent "le droit" de revendiquer ce sentiment de souffrance ultime, que personne ne connaitra jamais à part nous....
Je pense que la question enfant ou pas a son importance, pour la motivation future, les enjeux, et tout simplement la vie de tous les jours...
Je vous dis ça car moi en ce moment je me suis remise à fumer, 2 paquets/jour, à boire, je ne fais plus rien, à part dormir, pour que le temps passe....
Je pense que si j'avais des enfants, même grands, j'aurais des priorités, et des exigences.....
Encore une fois, je ne souffre pas plus que vous, mais différemment...
Bonne soirée à vous, courage....