Auteur Sujet: mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme  (Lu 1042345 fois)

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1755 le: 15 juillet 2018 à 23:57:49 »
Merci Vortex pour ton gentil  message. Ma fille vient de m'envoyer un texto elle est paralysée depuis 22 heures.
Alors quand votre famille de sang est si dure avec vous et vos enfants, oui nous avons besoin d'une autre famille de cœur.
Encore merci Vortex

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1756 le: 16 juillet 2018 à 08:53:22 »
Assiniboine,
Je sais bien que l'envie d'en finir taraude beaucoup d'entre nous, à un moment ou à un autre.
Le suicide est une réponse définitive à un problème qui ne l'est pas.
Ta situation est difficile, ta souffrance immense, mais rien que parce que la vie peut encore t'apporter de la joie, elle vaut la peine d'être vécue.
A toi de trouver la ou les personnes qui peuvent t'aider  à accepter ce lourd passé.
Ce passé n'est pas toi, il ne te définit pas. Il est une partie de ta vie. Juste une partie, si tu en décides ainsi.

La vie t'a aussi apporté du bonheur, au moins tes enfants, et sans doute d'autres choses.
Je me permets de t'envoyer un lien posté par Qiguan:

https://www.inrees.com/articles/mettre-sa-part-ombre-a-la-lumiere/

Je te souhaite une belle journée.
Affectueusement.




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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1757 le: 16 juillet 2018 à 19:43:39 »
Merci Bmylove pour ton message

Ma fille souffre énormément en ce moment. Le départ de son copain à Toulouse de son copain la perturbe vraiment. Cela a ravivé sa maladie neurologique (ou psychologique). Encore ce soir je lui ai dit que si elle voulait s'exprimer j'étais là mais elle a répondu merci pas encore envie.

Alors j'attends


Affectueusement

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1758 le: 16 juillet 2018 à 19:47:50 »
Tu sais quand ma fille est bloquée dans la souffrance et dans le mutisme, je ne pense plus au passé mais j'espère qu'au présent elle va mieux aller
Elle a pris l'habitude d'aller voir un hypnothérapeute et son rdv est demain, j'espère qu'il va pouvoir l'aider

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1759 le: 16 juillet 2018 à 20:38:04 »
Très bonne idée, l'hypnothérapie.
Elle te parlera quand elle le pourra, et quand elle te sentira prêt.

Affectueusement. ;)
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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1760 le: 18 juillet 2018 à 03:20:06 »
Bonsoir Bmylove, ma fille m'a dit ce soir qu'elle allait beaucoup mieux et qu'elle allait me raconter. Elle ne voit pas souvent son hypnothérapeute mais à chaque fois qu'elle le voit elle en revient beaucoup plus en forme.

J'ai écrit à une copine d'enfance à qui j'envoie en général un message tous les ans pour son anniversaire.
J'ai fini mon message en lui disant que j'avais appris dans ma vie que l'amitié était une chose à ne pas râter…..

Chers membres comme je me suis senti seul après ce maudit suicide me coupant des mes ami(e)s.

Mes amitiés

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1761 le: 18 juillet 2018 à 03:30:41 »
Yacine, je  vous assure que si j'avais connu votre forum il y 16 ans, je n'aurais pas vécu un tel enfer dont j'ai du mal à m'en sortir.
Alors bravo à vous d'aider les endeuillés….

Mes amitiés

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1762 le: 18 juillet 2018 à 03:56:21 »
Cette copine d'enfance m'avait dit il y a quelques années qu'il fallait que j'oublie mes démons. Mais à l'époque je ne parlais à personne de mes démons, sauf à un psychiatre débile et dangereux.
Comment faire sortir la souffrance si on n'en parle pas, elle s'inscruste, fait mal psychologiquement et bien entendu physiquement. A 60 ans, j'en parais 10 de plus et je me sens aussi au moins 10 de plus.

Oui, sans monter sur mes grands chevaux, il faut éviter le pire aux endeuillés, aux malades psychiques, aux personnes en souffrance........ Endurer une telle souffrance est inacceptable en France et que Monsieur Macron ne s'intéresse pas qu'aux gens qui réussissent mais aussi à celles et à ceux qui sont devenus RIEN

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1763 le: 18 juillet 2018 à 04:03:49 »
Zut, je pête les plombs encore à cause de ce premier ministre Philippe,  qui en parlant des footeux nous dit que c'est l'exemple de l'excellence.

L'excellence elle se trouve au sein de l'équipe des bénévoles de SUICIDE ECOUTE.

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1764 le: 18 juillet 2018 à 08:30:56 »
Je suis bien d'accord.
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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1765 le: 19 juillet 2018 à 20:47:25 »
Merci Bmylove

Un article intéressant dans infosuicide.org actualités. Une étude canadienne se penche sur les notes laissées par des personnes qui se sont suicidées pour analyser les causes de leur suicide.

J'ai en particulier retenu que de nombreuses personnes perdent espoir de sortir de leur maladie psychique, qu'elles pensent qu'elles ne guériront jamais. L'étude dit qu'il faut apporter à des personnes ayant perdu espoir des soins adaptés et de qualité. J'ai lu rapidement mais ce que j'en retire.

Après 40 d'attaques de panique et trente de Xanax (j'avais demandé à un moment que soit indiqué une durée d'utilisation, c'est fait maximum 12 semaines), croyez bien que j'ai perdu espoir de trouver un thérapeute, comme ces personnes qui finissent par se suicider

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1766 le: 19 juillet 2018 à 20:52:44 »
Tu peux poster le lien de cet article ?

Merci, et tiens bon, tu n'es pas tout seul.

Bises.
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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1767 le: 19 juillet 2018 à 21:04:21 »
oui j'ai dit à ma fille que je voulais mourir, oui l'hypnothérapeute me l'a vivement reproché…….Je peux me sentir coupable mais je me suis excusé auprès de ma fille.
Que les autorités sanitaires continuent à ignorer leur propre responsabilité, qu'elles ne se sentent pas coupables de fournir de meilleurs soins.
Nous nous sentons  coupables à  leur place, tout va bien

NON. A nous d'agir pour que nos proches ayant des problèmes psychiques soient bien soignés.

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1768 le: 20 juillet 2018 à 05:20:44 »
Bmylove, je n'avais pas lu ton message avant d'écrire mon dernier message/
Merci encore tes messages, ton soutien me font vraiment plaisir.
Non malheureusement je ne sais pas pas faire de liens

Mais aujourd'hui je vais voir ma psychologue neurologue. Je n'ai pas très envie.
Je voudrais lui dire carrément que la durée d'utilisation du Xanax est de 12 semaines, alors que fait on pour moi maintenant qui en est à sa trentième année.

Peur qu'elle ne sache pas répondre, peur aussi qu'elle me réponde encore que c'est l'anxiété qui fait des trous dans le cerveau pas le Xanax.


J'en ai marre Bmylove de ne pas trouver une personne compétente pour me soigner de mon addiction et de freiner cette trop grande anxiété.


Merci Bmylove de m'accompagner, de me dire que je ne suis pas tout seul.


Affectueusement

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1769 le: 20 juillet 2018 à 05:44:59 »
Voilà Bmylove, j'ai fait un  copier coller, c'est long, mais tu pourras peut être en tirer quelque chose. Moi je suis fatigué en ce moment et je n'ai peut être pas tout compris.
Merci Bmylove

CANADA ETUDE RECHERCHE ce que les notes sur le suicide nous apprennent sur les expériences en matière de maladie mentale et de soins de santé mentale

D'après article  Centre for Addiction and Mental Health – 16.Jul.2018 What suicide notes teach us about experiences with mental illness and mental health care*


TORONTO, le 16 juillet 2018 - L'étude des notes de suicide peut-elle aider les cliniciens dans leurs efforts pour prévenir le suicide? C'est la prémisse d'une nouvelle étude du Centre de toxicomanie et de santé mentale (CAMH) et du Sunnybrook Health Sciences Centre, publiée dans le Canadian Journal of Psychiatry.

L'étude a porté sur 1 565 cas de suicide, identifiés par le Bureau du coroner en chef de l'Ontario, entre 2003 et 2009. Dans environ le tiers de ces cas, une note de suicide a été référencée et dans 290 cas une copie ou une transcription a été inclus dans le fichier. Au sein de ce groupe, les auteurs de l'étude se sont concentrés sur un sous-ensemble de 36 notes de suicide qui faisaient explicitement référence à la maladie mentale et / ou aux soins de santé mentale.

"En enquêtant sur les notes de suicide, nous avons l'occasion d'améliorer notre compréhension de l'état d'esprit des gens dans les moments précédant leur suicide suicide. L'espoir est que nous pouvons utiliser cette information pour comprendre les schémas de pensée qui contribuent au suicide. Ces modèles peuvent être la cible d'un traitement chez les personnes à risque », a déclaré l'auteur principal, le Dr Juveria Zaheer, clinicien-chercheur à l'Institut de recherche sur les politiques en matière de santé mentale de CAMH.

Dans les notes, les auteurs ont trouvé trois thèmes principaux qui pourraient améliorer l'identification et le traitement des personnes atteintes de maladie mentale qui sont à risque de suicide.

Sentiments de contrôle et d'impuissance

Beaucoup de personnes qui se sont suicidées ont senti qu'elles n'avaient aucun contrôle sur leur maladie mentale et son impact sur leur vie. D'autres ont senti qu'ils contrôlaient leur vie, mais ils étaient fâchés d'être incapables de changer la trajectoire de leur maladie.
Voir leur situation comme une bataille entre le «vrai soi» et la maladie mentale.
Plusieurs auteurs ont décrit la maladie mentale comme un adversaire qui doit être «combattu», ce qui semble épuiser des ressources mentales et émotionnelles précieuses. Ils ont perçu la lutte comme une «bataille perdue», conduisant à des sentiments d'épuisement.
Expériences de traitement de santé mentale qui mènent au désespoir et à l'auto-accusation.
Dans plus de la moitié des notes de suicide, les auteurs ont fait référence à un traitement de santé mentale antérieur. Alors que certains ont exprimé un sentiment de désespoir, sentant qu'il n'y avait rien qui puisse être fait pour les aider à aller mieux, d'autres se sont reproché de ne pas avoir répondu positivement au traitement. Dans le contexte de la dépression sévère et d'autres maladies mentales, il peut être difficile pour les patients de maintenir l'espoir que leur état s'améliorera.

Les auteurs soulignent que la maladie mentale peut être traitée et que toutes les personnes touchées méritent d'avoir accès en temps opportun à un traitement de haute qualité. L'une des implications pour les cliniciens dans l'évaluation du risque de suicide est l'importance de comprendre les différentes façons dont leurs patients interprètent leur maladie mentale. En comprenant les pensées intérieures d'une personne avant de mourir par suicide, il y a des implications cliniques évidentes pour cette recherche.

«Il est très important que les cliniciens parlent à leurs patients de leurs pensées et de leurs croyances concernant la maladie mentale et les soins de santé mentale», a déclaré l'auteur principal, le Dr Zainab Furqan, un résident en psychiatrie de l'Université de Toronto. Les auteurs disent que les cliniciens devraient faire un effort conscient pour identifier les sentiments d'impuissance ou un sentiment de désespoir dans le contexte d'une dépression, créant une opportunité pour des interventions qui peuvent réduire la probabilité de suicide.

Le Centre de toxicomanie et de santé mentale (CAMH) est le plus grand hôpital d'enseignement en santé mentale et en toxicomanie du Canada et un centre de recherche de premier plan dans ce domaine. CAMH combine les soins cliniques, la recherche, l'éducation, l'élaboration de politiques et la promotion de la santé pour aider à transformer la vie des personnes touchées par la maladie mentale et la toxicomanie. CAMH est entièrement affilié à l'Université de Toronto et est un centre collaborateur de l'Organisation panaméricaine de la santé et de l'Organisation mondiale de la santé. Pour plus d'informations, veuillez suivre @CAMHnews et @CAMHResearch sur Twitter.
http://www.camh.ca/en/camh-news-and-stories/what-suicide-notes-teach-us-about-experiences-with-mental-illness-and-mental-health-care


Références étude citée

“I Can’t Crack the Code”: What Suicide Notes Teach Us about Experiences with Mental Illness and Mental Health Care

Zainab Furqan, MD, BASc 1, Mark Sinyor, MD, FRCP(C), MSc 2, 3, Ayal Schaffer, MD, FRCP(C)1, 2, 3, Paul Kurdyak, MD, FRCP(C), PhD4, 5, 6, Juveria Zaheer, MD, FRCP(C), MSc1, 4

1 Department of Psychiatry, University of Toronto, Toronto, Ontario

2 Evaluative Clinical Sciences, Hurvitz Brain Sciences Research, Sunnybrook Research Institute, Toronto, Ontario

3 Mood and Anxiety Disorders Program, Sunnybrook Health Sciences Centre, Toronto, Ontario

4 Health Outcomes and Performance Evaluation (HOPE) Research Unit within the Social and Epidemiological Research Program, Centre for Addiction and Mental Health, Toronto, Ontario

5 Department of Psychiatry and Institute of Health Policy Management and Evaluation, University of Toronto, Toronto, Ontario

6 Mental Health and Addictions Research Program at the Institute for Clinical Evaluative Science (ICES), Toronto, Ontario

Corresponding Author: Juveria Zaheer, MD, FRCP(C), MSc, Centre of Addiction and Mental Health, 250 College Street, Toronto, Ontario M5S 2S1, Canada. Email: juveria.zaheer@camh.ca


Objectif :

Bien que la maladie mentale soit un facteur de risque du comportement suicidaire et que de nombreuses personnes décédées par suicide reçoivent des soins de santé mentale avant de mourir, il y a un manque comparatif de recherche qui explore leurs expériences avec la maladie mentale et les soins. Les notes de suicide offrent un aperçu unique de ces expériences subjectives. Notre étude explore les questions suivantes: « Comment la maladie mentale et les soins de santé mentale sont-ils vécus par les personnes décédées par suicide qui laissent des notes de suicide? » et « Quel rôle ces expériences jouent-elles dans leur cheminement vers le suicide? »

Méthode :

Nous avons utilisé un cadre théorique constructiviste ancré pour choisir de mettre l’accent sur une analyse qualitative, de procéder à un codage ouvert ligne par ligne, à un codage axial, et à une théorisation des données. Notre échantillon est un ensemble de 36 notes de suicide qui font explicitement mention de la maladie mentale et/ou des soins de santé mentale, délibérément sélectionnées d’un échantillon plus grand de 252 notes.

Résultats :

Les principaux thèmes de notre échantillon étaient 1) Négociation de sa capacité d’agir dans le contexte de la maladie mentale; 2) Conflit entre le soi et la maladie; 3) Expériences de traitement de santé mentale menant au désespoir et à l’auto-accusation. Ces expériences avec la maladie mentale et les soins de santé mentale peuvent provoquer l’épuisement et un désir d’exercer une capacité d’agir, ce qui contribue au comportement suicidaire.

Conclusions et pertinence :

Cette étude présente des perspectives uniques de personnes décédées par suicide, dont les voix et les expériences n’ont peut-être pas été entendues ailleurs, ce qui répond à un déficit important de la littérature existante. Ces aperçus peuvent enrichir les soins cliniques ou renforcer les programmes de prévention du suicide existants.

http://journals.sagepub.com/doi/abs/10.1177/0706743718787795?journalCode=cpab