A deux mois de la retraite, je crois que je n'ai jamais eu autant de travail. Je fonce dans le tas de la paperasse. Je ne voulais pas être invalide psychologique, je prouve au moins que sur le plan du travail je ne suis pas invalide. C'est une autre chose au point de vue de la gestion de mes émotions. là je suis vraiment invalide. La colère, la peur, le désespoir tout y passe et peu d'émotions positives, mais je vais m'efforcer d'avoir de telles émotions.
Je sors de la maladie de peau de mon chien et voilà qu'il mange beaucoup d'herbe et qu'il vomit. Je n'ai pas vraiment envie de retourner chez le véto, j'espère que cela va lui passer.
Egoiste, un terme qui me colle à la peau sur ce forum, parce qu'au moins deux personnes me l'ont écrit. C'est assez dur à digérer de se voir juger aussi négativement. Mais c'est la vie, quand on communique avec d'autres personnes, on peut toujours recevoir des jugements négatifs, qu'ils soient réels ou supposés.
Serais je le seul à devoir changer ? A devoir devenir meilleur ?
Oui comme pour Maurane, l'amour me fait cruellement défaut, mais je me suis habitué à vivre sans, à survivre plutôt.
Ma fille semble avoir trouvé le grand amour et c'est bien là l'essentiel.
Les relations de mon fils avec sa compagne sont moins évidentes, mais lui garde ses sentiments pour lui, ou du moins n'en parle pas à son papa. Par contre, il a seulement commencé à travailler à 30 ans et depuis bientôt trois ans, il s'y est
mis à fond, travaille dans la même compagnie que ma fille, cette compagnie qui a lessivé ma petite Manon