Etre agoraphobe c'est être en prison, que tout le monde le sache.
Peine de prison que je suis bien loin d'avoir mérité, bien au contraire, on aide une personne devenue malade parce que des connards négligents d'une administration ont provoqué la mort de son papa.
Non je ne pense pas être en dépression, du moins, j'arrive par moments encore à relever la tête, à dire tout le mal que je pense des soins en santé mentale. Peu importe si cela est une obsession. Moi seul possède les clés de ma délivrance, et gueuler après celles et ceux qui me laissent en prison sans m'en faire sortir est un moyen de me sentir mieux.
Je sortirai de prison quand on aura accepté de dire que vous droguer avec des anxiolytiques dangereux est criminel, criminel. J'avais même peur des labos pharmaceutiques avec toute leur puissance, maintenant je suis prêt à leur dire de passer à la caisse pour réparer un peu les dégâts, et donner par exemple de l'argent pour que se développe des groupes de soutien pour des drogués de leur poison et passer à la caisse pour que les psychothérapies jugées efficaces par le rapport de l'inserm en 2004 soient remboursées. Les labos ont influencé les psychiatres, en ont certainement corrompu certains comme c'est le cas pour les problèmes de la dépakine et du levythorox (m'en fous de l'orthographe)
Bien entendu mon combat reste solitaire pour l'instant mais comme l'émergence des gilets jaunes pour le combat contre la précarité, un tel mouvement des malades psychiques et de leurs proches finira par émerger
Mes amitiés