Je n'ai plus de jambes, la bouffe me dégoute, comment faire pour aller au boulot pour "socialiser" et se faire emmerder sur des détails de paperasses.
J'ai pu pleurer en parlant à ma fille.
Elle comprend aussi que c'est la fin de mon plus fidèle compagnon, toujours de bonne humeur, toujours le sourire intérieur malgré certainement une souffrance physique
C'est vrai que je m'en fous qu'on me traite de fou, de peu avenant, d'agoraphobe, de psychotique, l'important est que je ne reste pas indifférent à la mort de celles et ceux que j'aime.
Je t'aime Kaiser, tu m'as tant apporté, c'est certainement en partie gr)ace à toi que j'ai tenu le coup alors qu'on m'avait laissé errer dans ma maison pendant 10 ans.
Tu es un super copain, sans a priori de merde qui nous tue entre êtres humains
?
K
n
JE T AIME