Auteur Sujet: mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme  (Lu 1032384 fois)

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1395 le: 24 février 2018 à 11:14:57 »
Enfin infosuicide.org actualités nous sort une étude faisant le comparatif de 21 antidépresseurs.
De quoi informer les psychiatres.
Cela permettra à ceux qui ont en besoin et qui y croit d'être bien soigné.

Moi, j'attends un comparatif de 21 psychothérapies permettant à un anxieux, un agoraphobe depuis 40 ans de s'en sortir, de se sortir de cette addiction.

Infosuicide.org actualités a fait son choix...... Je me demande si c'est le meilleur moyen d'éviter le suicide des gens en souffrance et des sujcidaires qui prennent déjà une tonne de médicaments

Alors allez à l'hôpital PSYCHIATRIQUE dans cet environnement incitant à la prise de médicaments, ce n'est pas  facile

Ma souffrance en tant que drogué du Xanax fait face à une indifférence sans bornes, criminelle comme dirait Boris Cyrulnik
« Modifié: 24 février 2018 à 17:18:10 par assiniboine »

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1396 le: 24 février 2018 à 11:22:58 »
L'autre jour ce site fait la promotion d'un livre qui dit que les antidépresseurs ont fait diminuer le suicide.

Est ce vraiment vrai ? Comment les auteurs peuvent ils vraiment affirmer cette Coorélation entre l'augmentation de prise d'antidépresseurs et la baisse du suicide ?

Ce n'est pas trop mon problème psychique o'est l'anxiété alors quel antidépresseur me permettra de me passe d'anxiolitiques ?

Et pourquoi tant parler des béquilles que sont les médicaments, sans parler du reste ce qui est le plus important dans une guérison et qui vous permettent de balancer vos béquilles au feu.

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1397 le: 24 février 2018 à 11:39:15 »
Ma petite Jeany d'amour, tu en as pris des antidépresseurs pendant 10 ans et tu t'es suicidée..

Ma petite Jeany ma canadienne, depuis ton suicide il y a 16 ans, on a essayé toutes sortes de molécules sur moi comme antidépresseur et comme tu peux le voir de là haut, ma biche, je suis en pleine forme, avec attaques de panique et montée de tension

Ma petite Jeany, nous avons perdu  la lutte pour un monde meilleur, je t'aime, je t'adore.
« Modifié: 27 février 2018 à 02:58:57 par assiniboine »

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1398 le: 24 février 2018 à 11:55:28 »
En ce qui concerne ce livre qui fait la corrélation entre prise d'antidépresseurs et baisse du suicide, il faut dire que la baisse du suicide est la plus marquée chez les jeunes, à qui on ne donne pas d'antidépresseurs.

Mais on met les moyens en psychothérapie, dans les contacts entre jeunes, on met les moyens en termes humains et on ne compte pas sur la molécule pour sauver du suicide

Reprenez vous infosuicide . org actualités et présentez les différents points de vue, sinon on continuera à  avoir une médecine à deux vitesses, ceux qui ont le psychiatre et ceux qui peuvent se payer un bon psychothérapeute

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1399 le: 26 février 2018 à 21:06:30 »
Ma fille vient de me dire qu'il n'est pas question pour elle de retourner au travail. Elle  ne m'en a pas dit plus. Démission, rupture conventionnelle. Les avocats de la grosse compagnie ne veulent pas négocier avec l'avocate de ma fille. Ces grosses compagnies semblent pouvoir faire ce qu'elles veulent avec leurs employés, même les harceler.

Quel est le rapport avec le deuil ? Rien mais avec la prévention du suicide et de la souffrance oui;

Si les employeurs et les psychiatres nous prenaient plus pour des êtres sensibles, pas de punching  ball sur lequel on frappe, pas des cobayes à qui on donne toutes sortes de molécules, on ferait un grand pas pour les endeuillés, pour les êtres humains.
Société déshumanisée et c'est ma fille et moi qui sommes fous et nuisibles. 
« Modifié: 27 février 2018 à 02:57:25 par assiniboine »

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1400 le: 26 février 2018 à 22:21:55 »
J'en ai marre de déverser ma souffrance sur ce forum. Vous avez assez de la vôtre. Je vais essayer d'être plus optimiste et moins négatif.

Mes amitiés à tous les membres du forum.

NON, je ne peux pas être optimiste quand j'apprends qu'il n'y a plus de place chez les psychiatres à Montpellier et qu'il faut aller à l'hôpital psychiatrique. Et quand je vois qu'il y avait une manifestation dans l'hôpital psychiatrique de Montpellier pour dénoncer le manque de moyens, je suis découragé.
Pas la peine de chercher un thérapeute spécialiste des TCC. alors que l'inserm a évalué comme efficace cette sorte de thérapie dans les cas de trouble panique. Encore une fois madame Buzyn au lieu de cacher ces recherches sur l'évaluation des différentes approches thérapeutiques, demandez à l'inserm d'en faire une autre et d'après les résultats faites en sorte que le système en soin mental soit plus adapté en France. Cela peut sauver des vies.

« Modifié: 27 février 2018 à 03:06:15 par assiniboine »

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1401 le: 27 février 2018 à 23:35:04 »
Cela devrait être une responsabilité des employeurs de veiller au bien être de leurs employés sur leurs lieux de travail.
Lu sur infosuicide qu'une compagnie au Québec distribue une petite mallette à leurs employés intitulée "comment moi ca va? '. Cette compagnie dit qu'elle travaille en amont sur le bien être de leurs employés avant qu'il ne soit trop tard.

On est bien loin de cette compagnie dans laquelle travaille ma fille, qui la harcèle, lui a donné un nombre considérable de tâches à effectuer, l' a pressée comme un citron et une fois qu'elle tombe malade la traite de folle et lui tourne le dos.

Je ne sais pas ce que va faire ma fille, mais bien entendu j'aurais voulu qu'elle gagne contre cet employeur dangereux et que ce harcèlement soit reconnu pour que cette compagnie arrête le carnage Seulement dans notre région cela fait la cinquième personne qui craque.
Mais cette compagnie est tellement puissante que l'avocate de ma fille ne va pas faire le poids et surtout que ma fille ne veut plus entendre parler de cette compagnie.

Il y a des choses à faire en France que le Québec est en train de faire................................

Même au niveau des thérapies, ils avancent plus vite que nous, sclérosés dans la toute puissance des psychiatres.
Eux, commencent à rembourser les psychologues et les psychothérapeutes.
Pourquoi la France est à la traine dans ce domaine, le soi disant pays des droits de l'homme.

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1402 le: 27 février 2018 à 23:52:10 »
Cette année le thème de la journée nationale de prévention du suicide 'acteurs visibles et acteurs invisibles de la préven...tion du suicide" n'était pas porteur, pas accrocheur, pas combattif.....

Je me suis laissé entendre dire que phare enfants parents était sortie de l'unps (à confirmer) en tous les cas lors de la journée nationale de prévention du suicide elle a préféré se battre pour sa pétition plutôt que de parler du thème peu clair de l'unps.

Pour l'année prochaine, j'espère que le thème sera un thème qui fera réfléchir les journalistes, c'est à dire savoir s'ils relaient ou non la journée de prévention du suicide. Pour l'instant ils ne l'ont jamais fait, je parle des grands médias télévisuels. Par exemple le thème pourrait être "parlons du suicide, cela le prévient"
C'est ce qu'a fait le Québec cette année et cela me semble une bonne idée....

Alors phare enfants parents pensez à un thème pour la prochaine journée qui englobe la prévention du suicide de personnes de tout âge et faites le adopter par l'unps si peu combattive pour l'instant.......

Et que Monsieur Debout, ancien président de l'unps, retrouve sa  place dans ce regroupement d'associations, car il a toute sa place. Il a sorti il y a six ans un livre qui s'appelle 'le suicide tabou français" et on s'aperçoit que six ans plus tard on en est toujours au même point.......

Tous ensemble pour la prévention du suicide, cela est une exigence que demandent les endeuillés du suicide et les personnes en  grande souffrance psychologique

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1403 le: 01 mars 2018 à 01:44:03 »
Avant la mort de mon père nous vivions dans la région parisienne. Puis après le décès, ma mère et nous les enfants nous sommes allés vivre chez nos grands parents à Mâcon. Mais si mois après, ma mère et mon frère et ma sœur sont retournés vivre dans la région parisienne me laissant seul chez mes grands parents. Me suis je alors senti abandonné alors ? J"avais 4 ans et demi. Est ce pour cette raison que j'ai peur maintenant de l'abandon, est ce la source de mon agoraphobie, de mon anxiété ?. Beaucoup de choses que ma psy ne peut pas m'expliquer, trop préoccupée par sa guerre d'Algérie, si peu formée en psychologie. Comment guérir maintenant avec ces blessures horribles de l'enfance qui m'ont pourri la vie entière ? Quelle sorte de thérapie, je n'en sais rien.
Non je n'ai pas le moral, oui je suis pessimiste, négatif........
Tout cela à cause de la négligence inadmissible d'une administration qui a tué mon père........

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1404 le: 02 mars 2018 à 18:31:11 »
Pendant que c'était la pagaille dans montpellier avec la neige, des cons ont en profité pour casser une vitre et me piquer ma batterie.

Dans ce monde il est plus facile de trouver des gens qui vous
emmerdent que des gens qui vous aident

Jusqu'au suicide pour les gens fragilisés par la vie

De l'aide bordel


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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1405 le: 02 mars 2018 à 18:39:13 »
Oui le suicide parlons en.... Ce n'est rien c'est une libération si on trouve personne pour aider en amont.... Et c'est bien souvent le cas, même de la part des thérapeutes

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1406 le: 03 mars 2018 à 00:53:05 »
Le généraliste a donné 10 jours supplémentaires d'arrêt de maladie à ma fille.Les employeurs harceleurs et sans cœur sont bien loin de se remettre en question sur leurs pratiques managériales. Bien au contraire ils lui envoient des contrôleurs pour voir si elle est bien chez elle.
Oui, elle est bien chez elle, oui elle est fragile, oui elle abandonne toute lutte pour lutter contre le harcèlement qu'elle a subi. Elle a essayé calmement de leur montrer qu'elle avait eu beaucoup trop de travail et que certains chefs s'amusaient à la mettre plus bas que terre. En pure perte.......
La généraliste lui a conseillé de voir le médecin du travail avant de reprendre le boulot et c'est lui qui décidera si elle est apte a ce boulot. Je ne sais pas ce qui se passera si elle est jugée inapte.

Ma femme a eu une activité de responsable syndical qui a été très difficie et qui a été un des facteurs de son suicide.

Du calme les employeurs, vous avez des etres humains ans vos entreprises pas des robots qui doivent etre uniquement très productifs et vous permettre de vous les profits qu'ils engendrent dans vos poches.

Monsieur DEBOUT ancien président de l'unps merci de vous occuper du harcèlement au boulot avec le cabinet Technologia.
Vous essayez de construire un  monde meilleur, bonne continuation et merci

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1407 le: 03 mars 2018 à 01:01:09 »
En ce qui me concerne l'épuisement professionnel est aussi au RDV. Reprendre le travail comme thérapie en gagnant moins qu'en restant invalide psychologique, et peut être en perdant mes droits à la retraite (on ne veut pas me dire si je vais gagner 700 ou 900 euros à la retraite) était un pari risqué. Au début cela semblait fonctionner, mais avec l'augmentation des tâches c'est devenu difficile surtout que cela  me  prend toute mon énergie et m'empêche de me consacrer à des activités plus intéressantes en dehors du boulot.
j'ai choisi ce chemin donc je ne peux pas me  plaindre mais maintenant c'est avec impatience que j'attends la retraite, dans six mois. Si mois à tenir dans le stress le  plus complet

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1408 le: 03 mars 2018 à 02:51:24 »
Oui les parents d'autistes ont compris que les soins en  santé mentale dispensés par les psychiatres ne sont pas adaptés.
Oui ils se battent pour avoir des psychothérapies remboursées.
Oui c'est vers ces personnes que je devrais me tourner mais je n'ose pas car mes problèmes sont différents.
Pourtant comme eux, je trouve que la santé mentale n'est pas bonne en  France.
A celles et ceux qui disent mais change de psychiatre, sachez que les psychiatres de Montpellier sont tous complets,,,qu'il y a eu un mouvement de greve à l'hôpital psychiatrique de Montpellier dénoncant le manque de moyens.

Trouvez vous mêmes un spécialiste des troubles anxieux et sortez de l'argent de votre poche;

Ce n'est pas  ma conception des soins en santé qui devraient être gratuits peu importe la maladie dont on souffre.

Alors oui une pétition pour lever le tabou du suicide pour mieux le prévenir (seulement 6000 signatures), alors oui une pétition pour demander des soins en  santé mentale mieux adaptés, mais qui lancera cette pétition ????...

Je comprends la souffrance des membres de ce forum, toutes nos histoires de suicide sont souvent bien différentes mais notre point  commun ne devrait il  pas  pour que le suicide de nos proches ne semblent pas aussi horribles, nous battre ensemble pour la prévention du suicide et de réclamer des soins plus adaptés, des groupes de parole pour les différentes pathologies pouvant amener peu à peu au suicide, à la lutte contre l'abus de l'utilisation de psychotropes.


Je m'accroche à la vie. Amitiés a tout le monde

Oui à des moments on a envie de s'endormir tellement on n'arrive plus à gérer tous les problèmes qui peuvent etre des facteurs de suicide.
Maladie psychique
Maladie physique
Un deuil  pathologique
Addictions aux psychotropes, au tabac, à l'alcool
Le manque de bons psychothérapeutes
Problèmes financiers
Boulot stressant
Solitude, sans conjoint
La honte de faire porter le poids au peu de proches qui essaient encore d'aider
Mais aussi l'absence du soutien familial et amical
Oui le suicide est multifactoriel.. J"aime l'expression il faut déconstruire le suicide. Pour cela il faut être aidé dans tous les domaines qui posent problème..... Et pour peu de facteurs on peut trouver de l'aide. D'où une dépression augmentée
et l'envie de SUICIDE qui arrive pour mettre fin à tous ces problèmes non résolus.
Non au SUICIDE et pour la résolution des problèmes qui sont les facteurs bien connus qui amènent à ce geste

J'ai fait cette liste en pensant un peu à ma propre situation, je pourrais faire une liste un peu différentes pour ma chère femme qui s'est pendue il y a 16 ans. Beaucoup de facteurs l'ont amenée à faire ce geste horrible.
Et les facteurs protecteurs comme ses enfants n'ont pas été suffisants pour la sauver.

C'est avec minutie, détermination, intelligence que l'on doit s"attaquer au suicide et à ses causes. Mettre fin à l'indifférence coupable face à ce problème majeur de santé publique. J'espère que nous serons de plus en plus nombreux à réclamer des moyens accrus pour mettre enfin un terme à cette mort évitable
« Modifié: 04 mars 2018 à 12:25:01 par assiniboine »

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1409 le: 05 mars 2018 à 11:01:22 »
Membres du forum, je me sens bien seul avec mon anxiété et mon agoraphobie. Personne ne comprend.

comme je n'ai plus de voiture, ma fille a dit à ma mère qu'il suffisait que je prenne le bus en bas de chez moi et qu'il m'amenait au boulot. Mais en fait il faut que je change trois fois de bus et comme je suis dans une  période d'anxiété prononcée j'en suis incapable

Donc ma fille au lieu de renseigner ma mère sur ma maladie renforce le fait que je ne suis pas capable de prendre le bus.

Ma fille ne comprend pas l'agoraphobie, d'ailleurs elle croit que c'est seulement la peur de la foul

Ma thérapeute ne comprend pas plus cette maladie.

Voilà je suis malheureux et je n'ai pas encore trouvé d'association qui pourrait me comprendre
et bien entendu encore moins de thérapeute.

La mort de mon  père qui m'a rendu comme cela, aurais je du mourir en même temps que lui pour ne pas souffrir de cette maladie psychique et de l'humiliation qu'elle entraine