Auteur Sujet: mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme  (Lu 1064688 fois)

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1245 le: 24 septembre 2017 à 11:56:01 »
Yacine, aucun autre article n'a été publié par infosuicide pour contredire en partie cette recherche, donc l'endeuillé compliqué ou pathologique ne voit guère de solution. Et cela est extrêmement dangereux pour ce survivant.

Alors reprenons espoir et oubliant ces pessimistes.

Je n'aurais pas dû poster cet article mais depuis deux semaines je suis aussi en deuil d'une chienne que j'aimais beaucoup.
Malgré cette perte de sa compagne; ma fille est partie à la Réunion pour dix jours. Depuis une semaine on ne pouvaif plus se parler. Aujourd'hui j'ai beaucoup pleuré à propos de cette chienne et des quatre chiens qui m'ont accompagné durant l'après suicide de ma femme. Ce soir ma fille m'a écrit un message disant qu"elle était encore sous le choc de la perte de sa moitié, nous avons pu ainsi en parler un peu et se réconforter.
Comme il est primordial de pouvoir parler à des personnes aimées de la personne aimée disparue.. On partage la souffrance et on peut répéter combien on l'aimait..

Après le suicide de mq femme nous n'avons pas beaucoup parlé d'elle, trop de souffrances sur nous les trois survivants après ce geste si difficile à accepter. Nous avions aussi trop de culpabilité.  Ma femme ayant dit à mes enfants qu'elle allait se suicider si ils n'allaient pas la voir. Une culpabilité énorme pour des adolescents de 14 et 16 ans. Et moi dans les choux incapable de trouver les mots. Bordel de suicide qui anéantit le reste de la vie. Mais en en parlant on finit certainement à retrouver un peu d'équilibre et de sérénité.
En ce qui concerne mon papa, que d'erreurs ont été commises par ma famille qui m'a caché sa mort. De quoi développer une anxiété dont on ne se sort pas.

L'hôpital psychiatrique de Montpellier n'en  peut plus. Manque de place, manque de psychiatres. La santé mentale n'est pas vraiment une priorité. Pas étonnant que des personnes malades psychiques  se retrouvent dans la rue sans avoir reçu des soins adéquats. Les faits divers nous apprennent des choses monstrueuses faites par des personnes malades et personne ne lance un vaste débat sur l'organisation des soins en santé mentale.
 
Une incroyable surcharge de travail au boulot, à cause d'un collègue malade et non remplacé, à cause d'une classe supplémentaire à gérer, à cause d'une collègue de 63 ans qui n'a plus envie de se fatiguer. Alors ce sont les erreurs qui arrivent, un chèque qu' je n'arrive plus à retrouver, un petit malaise pour ce truc si peu important. Après avoir vécu une vie difficile à cause de deux deuils impossibles à faire, on a envie de tout balancer avec ces choses dérisoires et ce manque de respect envers le bien etre des employés.
Pas encore de confirmation de ma victoire pour la retraite, toujours pas pressé l'administration, mais croyez bien si je gagne mon combat, je pars à la retraite, pour me reposer, me relaxer, promener mon chien, réparer ma maison avec mes 900 euros.
Pour celles et ceux qui pensent que je ne rexpecte pas le lieu de deuil sur ce forum, erreur, je respecte tous les deuils et encore plus les deuils difficiles qui finissent par vous amener à un grand désespoirn à une incapacité de mieux gérer les difficultés qui arrivent et qui sont bien souvent les conséquences lointaines de chagrins trop longtemps refoulés




« Modifié: 29 septembre 2017 à 00:59:39 par assiniboine »

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1246 le: 29 septembre 2017 à 20:41:40 »
le travail,, le travail, rien que ce mot dans la bouche de tout le monde, enfin presque.

Et qu'en est il des initiatives pour permettre aux personnes qui ont tellement souffert et qui souffrent de solitude.

Il y 16 ans je perdais ma femme, avec qui on avait des hauts et des bas. Ces bas qu'on aurait pu nous aider à combattre. Mais le bien être n'était pas du ressort des thérapeutes. La souffrance de l'un et de l'autre était chose étrangère à ces thérapeutes et généralistes.

En tous les cas, tout est brisé depuis que mon amour est parti. j'ai vécu grâce à mes enfants. Et je ne trouve pas les moyens pour me faire des amis. Trop peu altruiste, trop psychotique, trop tout, trop tout.

Déconstruire le suicide, c'est une phrase que j'ai lu quelque part plutôt s'entendre dire par le président de la république que si on n'a pas réussi on est rien

Bordel de pays, avec un président totalement incompréhensif par rapport à la souffrance humaine......................;

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1247 le: 29 septembre 2017 à 20:56:26 »
Le suicide cela se combat avec énergie, la même que celle déployée pour lutter contre le terrorisme.
La maladie psychique cela se combat avec vigueur, la même que celle déployée pour lutter contre le sida.
Personne ne doit être laissé sur le bord du chemin, à l'écart de l'amitié, à l'écart de la compréhension.
Ma famille est loin, les relations ne sont pas au beau fixe..
Comment remplace t on le soutien de la cellule familiale ??????????
Ma fille est encore à la Réunion, j'espère qu'elle n'a pas trop de crises. Elle me manque........................

Pensées à toutes celles et à tous ceux qui ont perdu un enfant........

Je suis confus dans mes pensées, j'en ai marre d'avoir une vie si degueulasse et je ne vois pas le moyen de m'en sortir

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1248 le: 30 septembre 2017 à 18:33:36 »
Une taxe foncière de 1600 euros pour une maison au bord de la route, oû il es impossible de se reposer sans fermer les fen^teres et les volets C'est quoi cette taxe qui ne prend pas en compte les nuisances sonores

J'ai besoin de calme, car je suis au bout du rouleau.

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1249 le: 30 septembre 2017 à 18:41:38 »
Pourquoi j'ai construit une maison au bord de la route. C'est malheureusement le choix de ma femme avec qui je n'étais pas d'accord du tout. Mais comme d'habitude je n'ai pas pu faire valoir mes envies.

Tout m'enrage en ce moment. Un boulot débile ou on me donne de plus en plus de travail et je n'ose rien dire.

Le raptus suicidaire ???????  Quel mystère ... Quand les emmerdes s'accumulent soit on combat, soit on cède

Merde au suicide et à toutes les causes qui provoquent ce satané raptus suicidaire

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1250 le: 01 octobre 2017 à 17:19:23 »
Le rejet même par suicide écoute.


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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1251 le: 01 octobre 2017 à 17:25:11 »
Pourquoi ? En effet j'ai appelé trois fois la même personne qui a fini par me dire que tout le monde me disait de changer de thérapeute. Je le comprends. Comprenez aussi qu'avec une agoraphobie de 40 ans on ne sache pas ou aller.
Avec une taxe foncière de 1600 euros on pête les plombs
Avec un boulot qui vous demande de plus en plus, on craque.
Avec des problèmes physiques on finit par en avoir marre.

Bisous.
« Modifié: 01 octobre 2017 à 17:31:52 par assiniboine »

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1252 le: 01 octobre 2017 à 18:03:13 »
Une pensée très émue pour tous les suicidés qui n'ont pas su trouver le thérapeute qu'il fallait et une énorme bise àux survivants des ces morts qu'on aurait pu éviter.

Meme infosuicide, cite un article d'une personne qui dit que les psychothérapies sont destinées aux classes supérieures et moi quand je raconte mes trente ans d'utilisation abusive de médocs sans écoute, on me dit change de thérapeute.

Encore une fois qu'ils viennent vers moi grautuitement ces thérapeutes qui sauvent des vies

Chut la colère, pensée une fois encore pour tous ces suicidés

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1253 le: 01 octobre 2017 à 18:53:13 »
Je retire le mot rejet de cette personne de suicide écoute. Cela fait au moins cinq ans que je leur raconte mes problèmes.

Peut être aussi que le fait que je n'arrive pas à trouver un thérapeute, que je n'arrive pas aller me faire soigner pour des pathologies physiques tout cela est de ma faute.

Qu'en pensez vous Monsieur Fauré ?

Bien tristement et solidairement

Que répondre à cette personne de suicide écoute et à toutes les personnes qui pensent que c'est si facile de trouver un thérapeute ?
Répondre par l'amour.
Tout l'amour pour ma femme qui n'a pas su trouver une oreille attentive à ses graves blessures
 Tout mon amour pour ma fille qui a cessé de voir tout thérapeute;
Tout l'amour pour ma sœur qui en a subi aussi auprès des psychiatres et qui a cessé de chercher
Tout l'amour pour ma nièce atteinte elle aussi d'attaques de panique et qui ne trouve  pas de thérapeute efficace

TOUT L AMOUR pour mes proches en souffrance, JE VOUS AIME
« Modifié: 01 octobre 2017 à 20:45:02 par assiniboine »

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1254 le: 06 octobre 2017 à 02:19:40 »
Vertiges,, tension très élevée, bilan cardio chez une psy inquiète.

Cette nuit ma maison est un régal, quel silence à la campagne quand les voitures se taisent. De quoi faire baisser la tension

Quelle trouille ce boulot ne sachant pas comment me dépetrer d'une situation difficile.

Ma fille a besoin de moi encore, il faut que je tienne le coup. On est là pour s'entraider, quoi de mal à cela. Je ne suis  pas le papa cool dont elle aurait besoin mais je fais mon possible pour l'aider quand elle en a besoin. Bisous Manon..

Quand je prends conscience de tout ce que j'ai dit sur ce forum, cela me donne la nausée mais tant pis il fallait que je le fasse.
L'image que j'ai donnée n'est peut être pas très bonne, pas altruiste pour un sou mais on fait ce qu'on peut pour essayer de ne pas sombrer.

Courage à toutes et à tous les endeuillé e s

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1255 le: 06 octobre 2017 à 02:24:16 »
Je ne pourrais jamais me sortir de cette anxiété qui me vient tout droit de mon enfance (bien que ce n'est pas sûr qu'une parite soit génétique) mais je vais essayer d'apprécier tous les courts instant de mieux être, de plus grand calme.

Ainsi va la vie

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1256 le: 06 octobre 2017 à 02:31:33 »
Yacine, le forum est certes un lieu d'échange et d'entraide, mais permettez à certains de n'apporter que leur témoignage de deuils mal vécus et de séquelles psychologiques importantes

Chaleureusement

Il y a 16 ans c'est a peu près la date que ma femme m'annonçait qu'elle voulait me quitter. Alors pour être plus près d'elle, grosse fumeuse, je me suis remis à fumer.
Elle fumait deux paquets vers la fin de sa vie, un  facteur non négligeable à son passage à l'acte.
Je me  plains de mes problèmes d'argent mais c'est du pipeau car moi aussi je fume deux paquets par jour.
Une alerte sur mon cœur,  des sommes considérables dépensées en cigarettes et en dentiers, il est temps que je sauve les meubles, que je dise adieu à ma chère épouse. J'ai adopté cette conduite suicidaire, à cause de son suicide, de mon agoraphobie qui ne veut pas partir. Mais je veux essayer de vivre encore un peu pour voir mes deux enfants évoluer.
Car ils sont mon grand amour, même si je regrette de ne pas voir mon fils plus souvent.
Jeany,, tu n'avais pas peur de mourir, cela m'a toujours étonné. Et c'était vraiment vrai.
Je cesse de me torturer à propos du suicide et encore une fois j'essaie de sauver les meubles.

« Modifié: 06 octobre 2017 à 14:40:23 par assiniboine »

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1257 le: 07 octobre 2017 à 13:32:30 »
Ma fille a emmené ce matin les affaires de sa chienne à une association qui place les chiens dans des familles d'accueil avant qu'ils ne soient adoptés...
Ma fille est malheureuse d'avoir perdu sa moitié, car c'est comme cela qu'elle considérait son amour de chienne.
Et moi, je ne sais pas trop quoi faire pour ma fille ?

La vie est ponctuée de pertes qui font tellement mal, c'est dur de REBONDIR comme on dit......

Mes amitiés à vous toutes et vous tous.........

« Modifié: 07 octobre 2017 à 21:59:02 par assiniboine »

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1258 le: 09 octobre 2017 à 00:46:32 »
4 jours d'arrêt de maladie, est ce que cela sera suffisant ? J'appréhende ma journée e demain,  ou je vais retrouver ma pile de boulot et une collègue avec de bons côtés mais ne voulant pas que je parle de la surcharge de travail à mon chef. Cette non communication me pèse, comme elle a pesé toute ma vie, dans mon enfance, avec ma femme
Le 7 octobre était la date à laquelle ma décote s'annule pour la retraite mais j'attends la confirmation que je garde bien mes droits d'instit et en restant calme, pour éviter tout vertige, je trouve qu'il mette longtemps pour m'apporter cette confirmation.
Même si j'arrête de fumer le revenu ne sera pas énorme, pour faire face aux travaux que nécessite ma maison.
En tous les cas, si je me mets à la retraite je souffrirais peut être plus de solitude mais de grâce moins de stress de boulot et d'embouteillages, car tout cela me fait du mal. J'ai besoin de CALME, de me reconstruire si c'est encore possible
Ma fille ne parle pas beaucoup en ce moment sous le coup de son deuil. Elle doit faire le chemin comme on dit et certainement que le deuil d'un animal est plus facile à faire que pour un humain.
En tous les cas sa grande joie de vivre a diminué depuis le déclenchement de sa maladie neurologique il y a deux ans et son seul grand bonheur c'était sa chienne. Qu'elle s'en sorte ma fille

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Re : mort de mon père quand j'avais cinq ans et suicide de ma femme
« Réponse #1259 le: 13 octobre 2017 à 02:07:09 »
Lundi jour de reprise, et on me dit qu'on n'est pas content que la sécurité sociale ne soit pas faite. Bandes d'abrutis si vous ne m'aviez pas donné plein d'autres choses à faire à cause d'une personne malade non remplacé, à cause d'une classe supplémentaire à gerer, à cause d'une collègue qui en fait de moins en moins (ca y est c'est la faute de tout le monde pas la sienne). Donc on m'annonce que l'échéance du dossier de sécurité sociale au lieu d'être bouclé fin décembre doit être fini dans deux semaines/
Mardi matin, visite chez la neurologue, une prise de tension encore plus mauvaise et enfin elle me donne des médicaments. En sortant de chez elle, obligé de m'arrêter en route, plus la force d'avancer, les étourdissements sont horribles alors je décide de rentrer chez moi et de ne pas aller au boulot et surtout de prendre mes médicaments pour les problèmes cardiaques.
Mercredi retour chez la neurologue, la tension est baissée, je suis un peu content et je vais au boulot mais avec de ces étourdissements. Sans faire attention aux remarques débiles de ma collègue je me lance dans le travail que je dois faire, à corps perdu. Aujourd'hui même topo, j'avance, j'en suis à la moitie de ce que je dois faire supportant les étourdissements encore présents.
Demains je dois continuer et en plus dans mon bureau ils vont faire des travaux et moi je dois me concentrer au maximum pour terminer cette satanée tache.
Ma psy me dit qu'il faut que je clarifie le problème de répartition de travail; que je dise que je ne peux pas faire en plus le travail du collègue absent. Mais je n'ose pas, car ma collègue n'est pas d'accord et je ne veux pas entrer en conflit. Le conflit je déteste j'ai trop vécu cela dans mon enfance.
Alors je me bats...... Et j'attends avec impatience ces débiles de l'administration sans cœur pour qu'ils me donnent la confirmation de mes droits à la retraite que normalement je peux prendre dans six mois.
Ma fille ne va pas trop mal. Demain elle a une grande réunion avec tous  les cadres de sa grande entreprise qui fait partie du CAC 40 et elle veut parler du burn out , de l'épuisement professionnel, ce qu'elle a subi pendant tant d'années.
Je suis FIER de ma fille. Elle ne se laisse plus faire, elle ne veut plus démissionner et partir comme une malpropre.
Est ce que je parle de deuil ici ? Un peu quand même car ce sont les conséquences du deuil qui nous ont mené la.
Ces conséquences à long terme de deuils mal vécus dont on ne parle peu et qui se terminent parfois par le suicide du survivant ou tout simplement par une maladie mortelle occasionnée par des conduites suicidaires.
Tout endeuillé qui a besoin d'un thérapeute doit être pris avec sérieux et non pas à la légère comme ce que j'ai vécu.

« Modifié: 13 octobre 2017 à 02:18:59 par assiniboine »