Je te comprends, Hortensia.
Je crois que je m'accroche à des rêves fous, pour ne pas subir de plein fouet le chaos.
Tu avais posté en espagnol un poème de Lorca, je ne comprends que peu de mots en espagnol mais j'ai reconnu un extrait de "poète à New York" ...
Un ensemble de poèmes où le désespoir le plus profond est transcendé au coeur même de la douleur ... par l'amour, seulement par l'amour, la douceur, la tendresse, l'émerveillement devant la simplicité de la vie naturelle.
Mais nous crevons de mal, c'est clair. C'est notre vive mort.
J'attends quand même de voir que du bon sortira de tout ça.
Je parie sur l'optimisme, je peux pas faire autrement !
Bisous Hortensia, Fleur, Federico ...