Double contre-nature, double contresens
Un enfant qui meurt par suicide
C'est vraiment trop, trop, trop.
Je n'arriverai à survivre que DANS la continuité de mon deuil,
impossible de tenir la route en "oubliant" cette peine immense
bouleversante à jamais
De l'extérieur, QUI sait à quel point cette peine a changé ma vie ?
Comme vous tous, je suis seule à la sentir et à la découvrir jour après jour ...
Accepter de la vivre pleinement, avec Amour, fidélité, est la seule forme d'acceptation qui m'engage à poursuivre la vie ...
Où aller d'autre, qu'au bout de sa Peine ?
Rassurée par son authenticité, tout m'est permis, y compris d'être gaie !
Et ça c'est important !
Tant pis pour ceux qui pensent qu'on doit "s'en sortir" ...
C'est pas ma vérité.
Amicalement, solidairement, M.